Lecture de Volna par Christophe Siébert

Hier, 13 septembre - veille de la première Journée Annuelle du Sport décrétée par notre commémorateur en chef afin qu'après avoir dû supporter musiciens amateurs et plateaux convenus de la télé publique une fois par an depuis des décennies nous soyons dorénavant contraints à faire de même, à une autre date, pour des sportifs amateurs vibrionnant dans des bacs à sable improvisés et des célébrités belles et bonnes défilant sur France Télévision -, hier donc, dans un tout autre registre, Marie Debilly Cerisier lisait de la poésie à la libraire L'hydre aux mille têtes. Et c'était fort. Après ce moment de poésie, c'est Christophe Siébert qui a lu de longs passages de son dernier roman, Volna . L'un comme l'autre était accompagnés par l'ambiance musicale de Mauricio Amarante qui ajoutait un contexte glaçant aux lectures. Qu'il en soit remercié ! Ci-dessous donc, deux courts moments de lecture, où l'on voit que, jusqu'à Mertvecgorod, le grand Michaël M

Piece of shit


Bragelonne vient de traduire une belle...merde (c'est le mot juste, je crois). Comme je ne suis jamais en retard d'un nanard, je l'ai lu il y a quelques mois en VO. Je sais que ma chronique est (très) brève, mais je crois que l'essentiel y est.
Faites attention à la couverture française, elle est attirante dans un style RembrandtPunk. Mais faites-moi confiance. Economisez votre argent. Gardez-le pour acheter...n'importe quoi ; tout vaut mieux que ça.
Eglise électrique, Jeff Somers

Commentaires

Val a dit…
CA a le mérite d'être clair, net et précis :)
BiblioMan(u) a dit…
Le lapidaire a du bon parfois. Merci. ;O)
Gromovar a dit…
Parfois je me dis que je ne suis vraiment pas aimable. Puis ça me passe :-)
Unknown a dit…
Qui sait, peut-être le traducteur améliorera la chose. Quoique... le titre est assez fidèle merci.
Gromovar a dit…
En effet, le titre est bien traduit :-)
Efelle a dit…
Ca défoule...