La Maison des soleils - Alastair Reynolds

La Maison des soleils est un roman (de 2008) d’Alastair Reynolds qui arrive enfin en France grâce au Bélial et à l’infatigable traducteur Pierre-Paul Durastanti. La Maison des soleils se passe 6 millions d’années dans l’avenir (énorme à notre échelle, rien à celle de l’univers ; il est important d’avoir ces deux rapports en tête pour comprendre tant la dimension vertigineuse de l'aventure humaine que le caractère transitoire des civilisations présentées ici, aussi éphémères que les nôtres) . La Maison des soleils prenant place dans le même univers que la novella La Millième nuit , publiée en UHL et chroniquée ici, je te renvoie, lecteur, à la chronique précédente dont le début te précisera le contexte. Univers de la Communauté donc. La Lignée Gentiane doit de nouveau se rassembler pour les Retrouvailles au cours desquelles, lors des célébrations des Mille Nuits, vont être partagés les fils mémoriels de chacun des clones (nommés frag, pour fragment de l’initiatrice de la Lignée,

Idées cadeau à l'arrache 2018

Olivier Ledroit

Ami lecteur, Noël arrive et tu n'as peut-être pas de cadeau à offrir à tes proches.  Qu'importe, ta simple présence est en soi un cadeau magnifique.

Si, néanmoins, tu voulais amputer encore ton pouvoir d'achat en sacrifiant à la tradition d'offrir un présent de faible valeur monétaire aux membres les meilleurs de ton entourage, voici quelques idées, quelques livres aussi importants qu'excellents, et qui, contrairement aux fleurs, ne sont pas périssables.

Assortiment subjectif, circonstanciel, et non trié, en forme de guirlande
(cliquer le lien pour aller vers la chronique)














AND THAT'S ENOUGH NOW
I'M TIRED OF ADVISING

Commentaires

Tororo a dit…
C'est bien, vous avez amplement mérité une pause-bûche.
chéradénine a dit…
Merci pour ces recommandations. Je n'ai lu que la BD [et je ne lis quasi-exclusivement que des BD depuis trop longtemps] qui m'a permis de véritablement découvrir le Conan de Howard, n'ayant d'ailleurs vu le très célèbre film. J'ai trouvé cette dernière sympatoche notamment grâce à son paratexte, mais sans plus je l'admets: peut-être le côté nouvelle pulp où tout semble résumé, même s'il y a un véritable art de la concision à l'oeuvre, je suppose. Howard et sa créativité semblent tout à fait passionnants, et j'ignorais qu'il s'était suicidé. Son physique imposant contribuait à me le rendre intrigant, de même que sa correspondance avec Lovecraft, qui louait son univers créatif pourtant si différent du sien.

Je te souhaite une belle année 2019 pleine de lectures !
Gromovar a dit…
Un personnage très intéressant Howard. Bon bouquin de Louinet sur l'homme, aux Editions ActuSF.

Bonne année à toi aussi, et merci pour les commentaires fréquents.