La grande muraille de Mars - Alastair Reynolds

La grande Muraille de Mars est la version française du méga recueil d’Alastair Reynolds intitulé en VO  Beyond the Aquila Rift . Dans des traductions de Pierre-Paul Durastanti, Laurent Queyssi et Florence Dolisi, ce sont pas moins de 16 textes (2 de moins que dans la VO) qui s’étalent sur 640 pages. Au fil de ces milliers de signes c’est l’avenir imaginé par Alastair Reynolds qui se dévoile aux yeux ébahis du lecteur amoureux de SF. Car c’est bien de SF qu’il s’agit ici. Toujours. Même quand ça peut ressembler à autre chose. Certains de ces textes appartiennent au Cycle des Inhibiteurs , ce cycle bien connu de notre club qui raconte l’histoire future d’une humanité spatiopérégrine et divergente dont les différentes branches, souvent en conflit armé, se distinguent par leur degré de fusion avec les machines. C’est le cas notamment des deux premiers, La grande muraille de Mars et Zéphyr qui racontent, de transhumanisme en tentative de génocide, les débuts de la divergence et les ...

Idées cadeau à l'arrache 2018

Olivier Ledroit

Ami lecteur, Noël arrive et tu n'as peut-être pas de cadeau à offrir à tes proches.  Qu'importe, ta simple présence est en soi un cadeau magnifique.

Si, néanmoins, tu voulais amputer encore ton pouvoir d'achat en sacrifiant à la tradition d'offrir un présent de faible valeur monétaire aux membres les meilleurs de ton entourage, voici quelques idées, quelques livres aussi importants qu'excellents, et qui, contrairement aux fleurs, ne sont pas périssables.

Assortiment subjectif, circonstanciel, et non trié, en forme de guirlande
(cliquer le lien pour aller vers la chronique)














AND THAT'S ENOUGH NOW
I'M TIRED OF ADVISING

Commentaires

Tororo a dit…
C'est bien, vous avez amplement mérité une pause-bûche.
chéradénine a dit…
Merci pour ces recommandations. Je n'ai lu que la BD [et je ne lis quasi-exclusivement que des BD depuis trop longtemps] qui m'a permis de véritablement découvrir le Conan de Howard, n'ayant d'ailleurs vu le très célèbre film. J'ai trouvé cette dernière sympatoche notamment grâce à son paratexte, mais sans plus je l'admets: peut-être le côté nouvelle pulp où tout semble résumé, même s'il y a un véritable art de la concision à l'oeuvre, je suppose. Howard et sa créativité semblent tout à fait passionnants, et j'ignorais qu'il s'était suicidé. Son physique imposant contribuait à me le rendre intrigant, de même que sa correspondance avec Lovecraft, qui louait son univers créatif pourtant si différent du sien.

Je te souhaite une belle année 2019 pleine de lectures !
Gromovar a dit…
Un personnage très intéressant Howard. Bon bouquin de Louinet sur l'homme, aux Editions ActuSF.

Bonne année à toi aussi, et merci pour les commentaires fréquents.