"
Station Eleven" est le 4ème roman de la canadienne Emily St. John Mandel. Post-apo grippal, il semble écrit pour le grand public et le cinéma. Pas pour un lectorat SFFF exigeant.
Je ne peux en dire plus car ma chronique sera dans le
Bifrost n° 84, et elle ne reviendra ici qu’un an après la sortie de la revue (c’est à dire, pfff…).
Je peux au moins donner le résumé de la couv’ car celui-ci est disponible partout :
Dans un monde où la civilisation s est effondrée suite à une pandémie foudroyante, une troupe d acteurs et de musiciens nomadise entre de petites communautés de survivants pour leur jouer du Shakespeare. Un répertoire qui en est venu à représenter l'espoir et l'humanité au milieu de la désolation.
Le roman évènement de la rentrée littéraire, finaliste du National Book Award aux Etats-Unis, qui fera date dans l'histoire de la littérature d'anticipation.
« Roman évènement », tout est dit.
Voila. Rien de plus. Sinon voici ce qui m'attend :
Commentaires
Ceci dit, c'est vrai que c'est à la base un (très bon) roman de littérature blanche, et que les thématiques du roman sont très orientées sur les personnages plutôt très réussis que sur des thèmes "purement" SF.
Mais qu'importe, j'ai beaucoup apprécié (et la construction narrative est vraiment excellente) ;)
Sur le "très bon" je suis bien plus réservé.
Et sur la construction : Molière, L'Avare, Acte V Scène V ;)
Mais Molière, c'est de la blanche, non ? :D