Dans le Bifrost 114 , on trouve un édito dans lequel Olivier Girard – aka THE BOSS – rappelle que, en SF comme ailleurs, un part et un autre arrive. Nécrologies et anniversaires mêlés. Il y rappelle fort justement et pour notre plus grand plaisir que, vainquant le criminel effet de génération, Michael Moorcock et Big Bob Silverberg – les Iguanes de l’Imaginaire – tiennent toujours la rampe. Long live Mike and Bob !! Suivent les rubriques habituelles organisées en actualité et dossier : nouvelles, cahier critique, interview, biographie, analyses, bibliographie exhaustive, philofiction en lieu et place de scientifiction (Roland Lehoucq cédant sa place à Alice Carabédian) . C'est de Iain Banks qu'il est question dans le dossier de ce numéro, on y apprendra que la Culture n’est pas seulement « ce qui reste quand on a tout oublié ». Dans le Bifrost 114 on pourra lire une jolie nouvelle de Iain Banks, intitulée Descente et située dans l’univers de la Culture (il y a des Orbitales)
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Commentaires
J'ai lu la présentation, ça parait bien allégeant.
Y a-t-il à l'intérieur une définition exacte du mot, et surtout la détermination précise des bornes du genre ? Je me pose la question depuis que j'ai écrit qq chose qui pour moi est une uchronie, mais ....Bref, je me demande s'il existe des règles in/out ^-^
Et bonne année pendant que j'y suis ! :)
Et bonne année à toi aussi.
J'ai récemment lu les propos d'un auteur anglo-saxon (incapable de me rappeler qui ... une femme et un écrivain connu *~*) qui disait apprécier le terme "uchronie" employé par les français. J'avais été surprise, ne pensant pas que nous en avions été les initiateurs. En allant voir plus loin (wiki), j'ai vu qu'un français en effet, Charles Bernard Renouvier, aurait été le premier à proposer ce terme, dans les années 1860.
Mais j'imagine que tu vas me dire que tout ça est dans le guide ad hoc ! ^-^
Quand à l'auteur qui aime le terme uchronie, c'est Jo Walton.
Je pensais l'avoir lu sur Goodreads, je gâtifie...
Je me couvre la tête de cendres...
Je remercie aussi le maître des lieux, j'ai beaucoup aimé ce guide, tant pour la forme que pour le fond.