Après le tome 3 , voici " La Guerre ", nouvel opus de la saga Blackwater . Cette chronique, et celles qui suivront pour les numéros suivants, seront très succinctes. Le but est de ne pas spoiler pour ceux qui n'achèteraient pas chaque numéro dès sa sortie. Ce quatrième tome commence peu avant la Seconde Guerre Mondiale et se termine avec elle. La famille Caskey peu à peu s'apaise, elle passe par-delà les meurtrissures réciproques et se rassemble dans ce qui ressemble à une forme d'harmonie autour de la nouvelle génération, celle des enfants des différents ménages. Certes les enfants, devenus presque adultes, quittent leurs foyers, qui pour l'université, qui pour l'armée. Parfois pour s'émanciper, parfois pour fuir une situation difficile, d'autres fois encore pour mener au calme une quête plus personnelle. Mais aucun ne laisse derrière lui durablement les lieux de son enfance, et quand ils s'en éloignent ce n'est jamais ni pour très loin ni
- Obtenir le lien
- Autres applications
Commentaires
Le dossier est quand même bien foutu, et, comme suporter historique de la cause palestinienne, j'ai adoré l'uchronie.
La prospective est bien foutu. La BD un peu facile.
J'ai lu sans grande conviction l'interview de Jean d'Ormesson et elle est absolument délicieuse.
Et j'en oublie.
et ce qui ne m'inspire pas, je zappe :-)
PS : Je viens aussi de recevoir le Présence d'Esprits avec la cro de Mister Guillaume.