La grande muraille de Mars - Alastair Reynolds

La grande Muraille de Mars est la version française du méga recueil d’Alastair Reynolds intitulé en VO  Beyond the Aquila Rift . Dans des traductions de Pierre-Paul Durastanti, Laurent Queyssi et Florence Dolisi, ce sont pas moins de 16 textes (2 de moins que dans la VO) qui s’étalent sur 640 pages. Au fil de ces milliers de signes c’est l’avenir imaginé par Alastair Reynolds qui se dévoile aux yeux ébahis du lecteur amoureux de SF. Car c’est bien de SF qu’il s’agit ici. Toujours. Même quand ça peut ressembler à autre chose. Certains de ces textes appartiennent au Cycle des Inhibiteurs , ce cycle bien connu de notre club qui raconte l’histoire future d’une humanité spatiopérégrine et divergente dont les différentes branches, souvent en conflit armé, se distinguent par leur degré de fusion avec les machines. C’est le cas notamment des deux premiers, La grande muraille de Mars et Zéphyr qui racontent, de transhumanisme en tentative de génocide, les débuts de la divergence et les ...

Instanciations - Greg Egan VF


Sortie aujourd'hui (un 29 février, oui !) de la VF du recueil Instanciations (ou, si j'ai bien compris, de sa partie la plus importante), qui était chroniqué là.

C'est au Bélial et c'est vraiment très bien.

Enjoy !

Commentaires

Alec Eiffel a dit…
Désolé, mais pour moi c’est du sous Permutation City. Aucun nouveau thème, voir même du copier-coller. Et dès le début ma suspension de crédibilité a été anéantie par une citoyenne lambda qui porte un raisonnement d’agrégé de physique…
Gromovar a dit…
Ah ! Dommage !
Vraiment bien aimé, moi.
Tu es joueur de jeux online ? Parce que j'ai trouvé que, sous cet angle, c'était vraiment bien vu.
Alec Eiffel a dit…
Neal Stephenson avait déjà traité cette partie dans l’âge du Diamant (je suppose qu’il doit y avoir des centaines de bouquins de SF qui couvrent tous les aspects des MMORPG).
Comme pour les forums dans Un Feu sur l’abîme de Vinge, ce traitement en SF de phénomènes digitaux actuels me paraît creux et vieilli mal, en tout cas sans trouver un axe de réflexion vraiment innovant ou stupéfiant.

Permutation city était froid, mais traitait de thèmes qui transcendent complètement la simple VR ou même les esprits digitaux. Egan était déjà passé à l’étape supérieure et interrogeait le tissu même de la réalité, poussait les virtualités dans une mise en abyme d’univers gigognes.