Demain, les origines est le dernier roman de Christian Chavassieux. Il est aussi glaçant que brillant (à moins que ce ne soit l'inverse) , tout simplement excellent. Je ne peux en dire plus car ma chronique sera dans le Bifrost n° 121, et elle ne reviendra ici qu’un an après la sortie de la revue (c’est à dire, pfff…). Je peux au moins donner le résumé de la couv’ car celui-ci est disponible partout : Dans une Europe au bord de l’abîme, les populations, soumises aux diktats de petites milices armées, vivent dans la peur de gouvernements autoritaires. Loin de la ville, la communauté où vit Grace pensait échapper à ces violences quotidiennes. Mais il suffira d’un vieux philosophe et d’une faute impardonnable pour que toutes et tous subissent d’inimaginables épreuves. Et alors que le grand incendie s’abat sur le continent, Grace, Malik, Robur, Syrrha et tant d’autres au milieu des ténèbres et des déshérités d’une société en délitement vont devenir les points de départ d’une...
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Commentaires
Vraiment bien aimé, moi.
Tu es joueur de jeux online ? Parce que j'ai trouvé que, sous cet angle, c'était vraiment bien vu.
Comme pour les forums dans Un Feu sur l’abîme de Vinge, ce traitement en SF de phénomènes digitaux actuels me paraît creux et vieilli mal, en tout cas sans trouver un axe de réflexion vraiment innovant ou stupéfiant.
Permutation city était froid, mais traitait de thèmes qui transcendent complètement la simple VR ou même les esprits digitaux. Egan était déjà passé à l’étape supérieure et interrogeait le tissu même de la réalité, poussait les virtualités dans une mise en abyme d’univers gigognes.