Hier, 13 septembre - veille de la première Journée Annuelle du Sport décrétée par notre commémorateur en chef afin qu'après avoir dû supporter musiciens amateurs et plateaux convenus de la télé publique une fois par an depuis des décennies nous soyons dorénavant contraints à faire de même, à une autre date, pour des sportifs amateurs vibrionnant dans des bacs à sable improvisés et des célébrités belles et bonnes défilant sur France Télévision -, hier donc, dans un tout autre registre, Marie Debilly Cerisier lisait de la poésie à la libraire L'hydre aux mille têtes. Et c'était fort. Après ce moment de poésie, c'est Christophe Siébert qui a lu de longs passages de son dernier roman, Volna . L'un comme l'autre était accompagnés par l'ambiance musicale de Mauricio Amarante qui ajoutait un contexte glaçant aux lectures. Qu'il en soit remercié ! Ci-dessous donc, deux courts moments de lecture, où l'on voit que, jusqu'à Mertvecgorod, le grand Michaël M
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Commentaires
Mais la particularité du roman est son mode particulier de narration. Or ici il n'est que peu utilisé, malgré quelques passages de témoin, et une sorte de revenons-y à la toute fin. De ce fait, ce qui faisait le sel du roman passe un peu à l'as.
Souvent dans une BD,le dessin l’emporte sur le texte,je m’en tiens donc au roman.
Il faut savoir que Giono lui-même a scénarisé une adaptation filmique de son roman, qui explicitait volontairement bien des points laissés dans l'ombre dans le livre. Le résultat, réalisé par François Leterrier et mis en musique par Jacques Brel (superbe générique), est vraiment très intéressant à comparer au livre (le cinéaste fait un usage très particulier du scope et de la couleur).
Du coup, je vois mal l'intérêt d'une BD dans ce contexte, ou alors inspirée du film (à voir si vous aimez le roman, mais attendez-vous à des surprises)...
Je ne connaissais pas le film mais je vais essayer de le trouver. Merci pour l'info. Je le comparerai à mon souvenir du livre.