Cullen Bunn - Bones of our stars, Blood of our world

Scénariste de comics et romancier, ce n'est apparemment pas le même set de compétences. C'est la conclusion qu'on doit tirer de la lecture de Bones of our stars, Blood of our world , le premier roman du scénariste Cullen Bunn . Là où un comic peut se permettre d'être frénétique, ici trop de personnages se succèdent trop vite dans une histoire convenue qui ne parvient même pas à être gore alors que c'est cette direction qu'elle vise. Ajoutons-y, pour faire bonne mesure, une écriture sans éclat, une enfilade de narrations à la troisième personne qui empêche tout investissement émotionnel, et l'éternelle petite ville insulaire en décrépitude dans laquelle on s'emmerde grave. Nihil novi sub sole , ça a été déjà fait, et beaucoup mieux. Passe ton chemin, lecteur !

A Dim but Happy Christmas

Quand le halogène de 500W - totalement non COP21 compatible - qui assure 80% de l'éclairage du salon explose en début de soirée, les festivités qui suivent derrière sont forcément plus « intimes » mais aussi plus sûres du point de vue d'une éventuelle attaque de sniper ; chaque pièce a deux faces.

Nonetheless, je vous envoie par la pensée le bonnet, le fiasquetti de gnole, et le cierge magique, en vous souhaitant d'en faire bon usage et de passer de très bonnes fêtes.

Commentaires

Kurisu a dit…
Happy Christmas !
Tigger Lilly a dit…
Faut toujours que tu exagères, ah là là ... L'hallogène qui explose. Les gens normaux font ça en famille autour d'un sapin et d'un bon repas.

Joyeux Noël !
Gromovar a dit…
Bon bout d'an :)

"Typiquement marseillais : se dit dans les derniers jours d’une année, mais toujours après Noël et plus particulièrement le 31 décembre.
Cette expression est synonyme de : bonne fin d’année."
shaya a dit…
Joyeuses fêtes à toi aussi ! (et sans explosion d'hallogènes, c'est pas mal aussi :p)