Les Esseulées - Victor LaValle - Retour de Bifrost 116

1915, Californie. Adelaide Henry quitte pour la dernière fois la ferme familiale de la Lucerne Valley. Cette jeune femme noire d’une trentaine d’années y vivait jusque-là avec ses parents Glenville et Eleanor, deux pionniers qui avaient choisi de suivre l’appel de l’African Society à « coloniser » le sud de la Californie et donc accepté d’occuper les terres californiennes que le gouvernement fédéral mettait à disposition des volontaires, fussent-ils noirs. Mais ceci, c’était il y a longtemps. Aujourd’hui, des décennies de dur labeur plus tard, Adelaide part, laissant derrière elle une ferme à laquelle elle met le feu et deux cadavres qui brûleront dedans. Il n’y aura plus que vingt-six familles noires dans la Lucerne Valley. C’est vers le Montana que la jeune femme se dirige, décidée à profiter de l’Homestead Act de 1862 (révisé en 1912) qui permettait à toute personne, quelles que soient ses caractéristiques, de revendiquer la propriété d’un terrain de 130 hectares qu’elle ...

Nightwhere : Pretty fucking boring

Le bouquin d’horreur à deux balles qui se passe dans un club SM très sélectif qui cache un cercle intérieur encore plus secret dans lequel des entités surnaturelles poussent des victimes plus ou moins consentantes à aller aux extrêmes de la douleur et du plaisir, parfois jusqu’à la mort. Ca, c’est fait.

J'ai failli mourir d'ennui, plus sûrement que sous la torture des Watchers.

Nightwhere, John Everson

Commentaires

Guillmot a dit…
Mouerf y'a déjà un Hentaï sur le même registre...
Gromovar a dit…
Misère !!!

Je ne devrais pas (trop) écouter les conseils des amis.
Anonyme a dit…
Tiberix : Misère. My bad. Heureusement que je ne l'avais pas lu avant. Par contre il paraît que la bio de Jhonny est vraiment, vraiment bien. : )
Gromovar a dit…
Sors d'ici avant que je t'attrape et te fouette.
Anonyme a dit…
Tiberix : L'imperfection dans les oeuvres des hommes est une preuve de l'existence de Dieu. Te voilà donc à la fois grandi et éclairé par cette mésaventure.

Tu me remercieras plus tard.