Mariana Enriquez - Un lieu ensoleillé pour personnes sombres

Des voix magnétiques, pour la plupart féminines, nous racontent le mal qui rôde partout et les monstres qui surgissent au beau milieu de l’ordinaire. L’une semble tant bien que mal tenir à distance les esprits errant dans son quartier bordé de bidonvilles. L’autre voit son visage s’effacer inexorablement, comme celui de sa mère avant elle. Certaines, qu’on a assassinées, reviennent hanter les lieux et les personnes qui les ont torturées. D’autres, maudites, se métamorphosent en oiseaux. Les légendes urbaines côtoient le folklore local et la superstition dans ces douze nouvelles bouleversantes et brillamment composées, qui, de cauchemars en apparitions, nous surprennent par leur lyrisme nostalgique et leur beauté noire, selon un art savant qui permet à Mariana Enriquez de porter, une fois de plus, l’horreur aux plus hauts niveaux littéraires. Un lieu ensoleillé pour personnes sombres , le dernier recueil de nouvelles de Mariana Enriquez, sort en VF aux Editions du Sous-Sol dans une trad...

Nightwhere : Pretty fucking boring

Le bouquin d’horreur à deux balles qui se passe dans un club SM très sélectif qui cache un cercle intérieur encore plus secret dans lequel des entités surnaturelles poussent des victimes plus ou moins consentantes à aller aux extrêmes de la douleur et du plaisir, parfois jusqu’à la mort. Ca, c’est fait.

J'ai failli mourir d'ennui, plus sûrement que sous la torture des Watchers.

Nightwhere, John Everson

Commentaires

Guillmot a dit…
Mouerf y'a déjà un Hentaï sur le même registre...
Gromovar a dit…
Misère !!!

Je ne devrais pas (trop) écouter les conseils des amis.
Anonyme a dit…
Tiberix : Misère. My bad. Heureusement que je ne l'avais pas lu avant. Par contre il paraît que la bio de Jhonny est vraiment, vraiment bien. : )
Gromovar a dit…
Sors d'ici avant que je t'attrape et te fouette.
Anonyme a dit…
Tiberix : L'imperfection dans les oeuvres des hommes est une preuve de l'existence de Dieu. Te voilà donc à la fois grandi et éclairé par cette mésaventure.

Tu me remercieras plus tard.