La Cité des Lames - Robert Jackson Bennett

Sortie du tome 2 de la trilogie des Cités de Robert Jackson Bennett. Après le très plaisant Cité des Marches , voici qu’arrive La Cité des Lames . Tu sais, lecteur, que je n’aime guère chroniquer des tomes n car la description du monde a déjà été faite par mes soins dans la chronique du premier volume. Je vais donc faire ici une sorte d’inventaire de ce qui est proche et de ce qui diffère, en pointant le fait que, de même que le  premier volume pouvait se lire seul, celui-ci le peut aussi, les événements du premier formant un background qui est correctement expliqué dans le deuxième, y compris pour d’éventuels lecteurs qui auraient commencé par celui-ci. J’espère que c’est assez clair;) Voilà, lecteur, tu sais tout, suis le guide ! La Cité des Lames se passe quelques années après les événements narrés dans son prédécesseur. Le pouvoir à Saypur a pris un virage à l'opposé de la politique colonialiste revancharde qui était la sienne depuis le Cillement qui a mis fin au Divin. Shara,

Every dog has its day


Comment dire Marcel Lehon ? Marcel Lehon est indicible.

Expliquer comment l’un de ses rarissimes CD m’est venu entre les mains, je ne le peux pas non plus. Certaines expériences se vivent et ne se racontent pas.

Qu’on sache seulement que Marcel Lehon est un poète corrézien maudit, un de ces chanteurs à texte que le monde nous envie. Qu’on sache encore qu’un monde de l’édition phonographique, tétanisé, l’a empêché de prendre son envol ; il faisait trop d’ombre aux valeurs établies. Qu’on sache enfin que la loi Hadopi a été adoptée en grande partie pour empêcher la circulation de ses œuvres et la diffusion de son message.

J’ai aujourd’hui décidé de rendre Marcel Lehon au monde. Je livre donc à vos oreilles ébaubies trois chansons de Marcel Lehon. Présentées d’abord dans leur pureté virginale, ces œuvres seront suivies de deux versions remixées (quoi que ça signifie), afin que chacun puisse constater comment l’industrie musicale tente de prostituer le talent.

Résiste Marcel ! Ils passeront, tu restes.

Commençons par les maquettes à capella, dans lesquelles le talent du poète couve sous la cendre.

Dans Le slow, le disco, Marcel Lehon prouve de manière éclatante qu'on peut être de la race des Brel, Brassens, Ferré, sans oublier d'être jeune.
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Dans Lucie, Marcel Lehon explore les affres de l'amour, ses beautés aussi.
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Dans T'en fais pas , mon P'tit Gars, chanson cryptosarkozyste, Marcel essaie de redonner courage aux chômeurs français.
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Voici maintenant ce qu'aurait voulu en faire l'industrie musicale. Je vous laisse juges.
Le slow, le disco Club mix
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Lucie Slow mix
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Commentaires

Guillaume44 a dit…
L'industrie musicale est une pute.
Maëlig a dit…
Ah quand même.
Maëlig a dit…
J'ai du être hospitalisé d'urgence pour hémorragie des oreilles, et je t'en tiens pour personnellement responsable. On s'arrange comment, je t'envoie la note de frais?
Gromovar a dit…
Marcel Lehon est une arme de destruction massive.