La grande muraille de Mars - Alastair Reynolds

La grande Muraille de Mars est la version française du méga recueil d’Alastair Reynolds intitulé en VO  Beyond the Aquila Rift . Dans des traductions de Pierre-Paul Durastanti, Laurent Queyssi et Florence Dolisi, ce sont pas moins de 16 textes (2 de moins que dans la VO) qui s’étalent sur 640 pages. Au fil de ces milliers de signes c’est l’avenir imaginé par Alastair Reynolds qui se dévoile aux yeux ébahis du lecteur amoureux de SF. Car c’est bien de SF qu’il s’agit ici. Toujours. Même quand ça peut ressembler à autre chose. Certains de ces textes appartiennent au Cycle des Inhibiteurs , ce cycle bien connu de notre club qui raconte l’histoire future d’une humanité spatiopérégrine et divergente dont les différentes branches, souvent en conflit armé, se distinguent par leur degré de fusion avec les machines. C’est le cas notamment des deux premiers, La grande muraille de Mars et Zéphyr qui racontent, de transhumanisme en tentative de génocide, les débuts de la divergence et les ...

Driving on the moon


Comment réaliser un sacrément bon petit film avec trois francs six sous ?
Avec un réalisateur créatif, Duncan Jones, et un acteur inspiré, Sam Rockwell. Ca ne vous rappelle pas Sam Raimi et Bruce Campbell ? Moi, si.
Sinon, pour le type de récit et l'esthétique, ça m'a évoqué "Bienvenue à Gattaca".
Moon, Duncan Jones

Commentaires

Munin a dit…
Je viens juste de le voir moi aussi : j'ai trouvé que cela aurait fait un excellent court ou moyen-métrage, mais que le sujet était bien trop dilué pour tenir la longueur d'un film. Quoi qu'il en soit, c'est une intéressante première oeuvre.
Gromovar a dit…
D'accord. 15 minutes de moins aurait été mieux.
Guillaume44 a dit…
Très bon film en effet.
BiblioMan(u) a dit…
Je ne l'ai pas vu passer mais je vais me pencher dessus. A l'occasion, je reviendrai dire ce que j'en ai pensé.
Ghislain a dit…
La bande annonce m'avait vraiment plu, mais je ne l'ai vu il n'y a qu'un mois. Quelques longueurs mais j'ai adoré. Cette impression de longueur accentue - je trouve - la solitude dans cette base sur la lune.
efelle a dit…
Beaucoup aimé aussi.