La Cité des marches - Robert Jackson Bennett

Bulikov, la capitale du Continent. Autrefois une ville grande et puissante, le centre du monde. Aujourd’hui une ville conquise, en partie détruite. Rome après Alaric. Kind of. Dans le monde de La Cité des marches , dernier roman traduit en français de Robert Jackson Bennett et premier volume de le trilogie des Cités divines , il y a le Continent et le reste – ce centre-périphérie théorisé au XIV siècle par le grand historien arabe Ibn Khaldoun . Et, comme dans l’analyse de ce dernier, la périphérie a fini par conquérir le centre, en l’occurrence le Continent ; rien d’étonnant, ce n’est qu’à la périphérie que résident la force et la détermination nécessaires à la guerre. Concrètement, c’est une révolte conduite avec succès il y a plusieurs décennies par le Kaj qui a abattu l’empire continental et ses dieux. La chute des uns entrainant celle de l'autre. Car tu dois le savoir, lecteur, le pouvoir sans égal du Continent était le fruit des « miracles » de ses six dieux, incarnés dans le

Driving on the moon


Comment réaliser un sacrément bon petit film avec trois francs six sous ?
Avec un réalisateur créatif, Duncan Jones, et un acteur inspiré, Sam Rockwell. Ca ne vous rappelle pas Sam Raimi et Bruce Campbell ? Moi, si.
Sinon, pour le type de récit et l'esthétique, ça m'a évoqué "Bienvenue à Gattaca".
Moon, Duncan Jones

Commentaires

Munin a dit…
Je viens juste de le voir moi aussi : j'ai trouvé que cela aurait fait un excellent court ou moyen-métrage, mais que le sujet était bien trop dilué pour tenir la longueur d'un film. Quoi qu'il en soit, c'est une intéressante première oeuvre.
Gromovar a dit…
D'accord. 15 minutes de moins aurait été mieux.
Guillaume44 a dit…
Très bon film en effet.
BiblioMan(u) a dit…
Je ne l'ai pas vu passer mais je vais me pencher dessus. A l'occasion, je reviendrai dire ce que j'en ai pensé.
Ghislain a dit…
La bande annonce m'avait vraiment plu, mais je ne l'ai vu il n'y a qu'un mois. Quelques longueurs mais j'ai adoré. Cette impression de longueur accentue - je trouve - la solitude dans cette base sur la lune.
efelle a dit…
Beaucoup aimé aussi.