Where the Axe is buried - Ray Nayler

Nouveau voyage dans le monde de Ray Nayler avec Where the Axe is buried , un roman assez court en terme contemporain, situé dans l'univers uchronique décalé que cet auteur américain globe-trotter très sympathique construit au fil de ses nombreux textes (on y retrouve par exemple son Istanbul ou l'Elmira de Yesterday's Wolf ) . Le monde que Where the Axe is buried nous donne à voir est fragmenté entre la ville-monde Istanbul où tout et tous se croisent, un empire totalitaire à l'Est qui ne peut faire penser qu'à la Russie (La Fédération) , une République dont on comprend qu'elle est un ex-satellite de la Fédération (et là on pense plutôt à l'Ukraine ou à la Géorgie) , l'UE, la Grande-Bretagne et son Commonwealth, les Unions Nord-Américaine, Centre-Américaine et Sud-Américaine, sans oublier un reste du monde peut-être moins strictement organisé. La plus grande partie du monde a adopté la « rationalisation » , c'est à dire que, sous l'égide de l...

L'Hacienda - Isabel Canas



Préférez Mexican Gothic ou, différent mais encore mieux, Notre Part de nuit !

Je ne peux en dire plus car ma chronique sera dans le Bifrost n° 113, et elle ne reviendra ici qu’un an après la sortie de la revue (c’est à dire, pfff…).

Je peux au moins donner le résumé de la couv’ car celui-ci est disponible partout :

À mi-chemin entre Mexican Gothic et Rebecca, un premier roman mêlant suspense et surnaturel avec pour toile de fond le Mexique après la guerre d'indépendance. Une maison isolée, des phénomènes paranormaux inquiétants et une femme prise dans leurs griffes...
Lors du renversement du gouvernement mexicain, le père de Beatriz est exécuté et sa maison saccagée. Quand le beau Don Rodolfo Solórzano la demande en mariage, Beatriz ne tient pas compte des rumeurs qui entourent la mort soudaine de sa première épouse et pense trouver la sécurité dans sa propriété à la campagne. Elle fera de ce lieu son nouveau foyer, quoi qu'il en coûte. Mais l'hacienda San Isidro n'est pas le sanctuaire qu'elle imaginait...
Rodolfo se voit bientôt contraint de retourner à la capitale. Très vite, le sommeil de Beatriz est peuplé de voix et de visions. Des yeux invisibles l'épient en permanence. Sa belle-soeur Juana raille ses peurs. Alors pourquoi celle-ci refuse-t-elle d'entrer dans la maison la nuit venue ? Pourquoi la gouvernante a-t-elle dessiné ces étranges symboles à l'entrée de la cuisine et fait-elle brûler du copal sur le seuil ? Qu'est-il réellement arrivé à la première Doña Solórzano ?
Beatriz n'a que deux certitudes : le mal habite cette hacienda et aucun de ses occupants ne la sauvera.

Voila. Rien de plus. Sinon voici ce qui m'attend :



Commentaires

Vincent a dit…
Ok je lirai quand même ra critique dans bifrost mais le ton est donné... dommage je le sentais bien celui ci ! Remarque notre part de nuit c est pas facile de faire mieux !