Christophe Siébert a crée la répugnante et vénéneuse ville de Mertvecgorod. Il a invité le lecteur à la visiter dans Images de la fin du monde , Feminicid et Valentina , trois romans publiés Au Diable Vauvert. Le sightseeing a fait récemment un détour chez d'autres éditeurs avec Hram chez Gore des Alpes et Vive le feu chez Zones 52. Voici qu’arrive Volna , publié chez Mu Editions et précédé d’une préface laudative et méritée de Marion Mazauric, fondatrice du Diable Vauvert et inventrice de Christophe Siébert comme on dit de celui qui trouve un trésor qu’il en est l’inventeur. 2030 et quelques. On est après le Black-Out qui a redessiné drastiquement Mertvecgorod, rendant la ville encore plus dure pour une population qui ne fait qu’y survivre, comme encagée, entre Substitution et retour à une lotek contrainte. On est à Mertvecgorod, ville-monstre qui va bruisser un peu, quelque jours, autour d’un mystérieux singe capucin trouvé par quelqu’une et recherché par d’autres. Un singe ca
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Commentaires
Souffrez donc, mon cher ami - et endurez en silence je vous prie, que, en ce siècle éclairé, les femmes de lettres se choisissent un vocable qu'il leur agrée. Et que si elles ne désirent point choisir, il est de leur liberté pleine et entière de se faire appeler indifféremment par l'un ou par l'autre, voire les deux.
Loin de moi l'idée d'oppresser quiconque.
Je souffrirai donc volontiers.
Gardons cela pour une prochaine controverse.
(je sais déjà les gens qui vont se déchaîner sur les Internets à cause de ce point écrit en toutes lettres suivi du signe de ponctuation équivalent).
Sinon, autrice vient logiquement et on s'y fait très vite, même si j'ai une attirance secrète avec le mot "auteure" dont je prononce la fin en faisant affleurer le "e" censément muet.
Autrice pour moi. C'est ancien, c'est logique et il existe même une règle de grammaire et un moyen mnémotechnique dédiés.
Ca pourra même faire une question pour le RIC ;)