JLA : Crise d'identité - Meltzer - Morales

Tu sais sans doute, lecteur, que si j'ai lu les comics Marvel passionnément pendant des années, j'ai toujours été beaucoup plus circonspects sur les productions DC. Question de goût. Ce qui ne m'empêche pas d'y jeter de temps en temps un œil (et un gros si on pense à la saga Sandman). Nouvelle preuve ici avec la lecture de Justice League : Crise d'identité . Sue Dibny, la femme de Ralph Dibny – le super-héros plus connu sous le nom d' Extensiman – a été assassinée. Pas le super-héros le plus puissant de la team, Extensiman est réserviste de la JLA. Il est aussi l'un des premiers supes DC a avoir révélé son identité secrète. Ralph et Sue forment un petit couple simple et plaisant, aimés de tous tant à la JLA que dans leur entourage normal. Pas des monstres du calibre de Superman ou Batman, pas des stars telles que Flash ou Green Lantern. Ils sont simplement un super-héros de deuxième division et sa femme, unis à la vie à la mort et fidèles à leurs amis de l

Les nominés GPI 2018 (enfin, quelques, y en a trop)




Roman francophone

La Désolation de Pierre Bordage (Bragelonne)
Toxoplasma de Calvo (La Volte)
Le Temps de Palanquine de Thierry Di Rollo (Le Bélial’)
Pornarina de Raphaël Eymery (Denoël, Lunes d’encre)
Les Seigneurs de Bohen d’Estelle Faye (Critic)
Spire, tomes 1 et 2 de Laurent Genefort (Critic)
La Société des faux visages de Xavier Mauméjean (Alma)
Paris-Capitale de Feldrik Rivat (L’Homme sans nom)
Moi, Peter Pan de Michael Roch (mü éditions)
Pierre-Fendre de Brice Tarvel (Les moutons électriques)


Roman étranger

La Bibliothèque de Mount Char de Scott Hawkins (Denoël, Lunes d’encre)
Bagdad, la grande évasion ! de Saad Z. Hossain (Agullo)
La Cinquième Saison de N.K. Jemisin (Nouveaux Millénaires)
Une histoire des abeilles de Maja Lunde (Presses de la Cité)
L’Arche de Darwin de James Morrow (Au diable vauvert)
Version officielle de James Renner (Super 8)
2312 de Kim Stanley Robinson (Actes Sud, Exofictions)
L’Alchimie de la pierre d’Ekaterina Sedia (Le Bélial’)


Prix Jacques Chambon de la traduction

Jean-Daniel Brèque pour Certains ont disparu et d’autres sont tombés de Joel Lane (Dreampress), La Bibliothèque de Mount Char de Scott Hawkins (Denoël, Lunes d’encre) et Apex de Ramez Naam (Presses de la Cité)
Michelle Charrier pour La Cinquième Saison de N.K. Jemisin (Nouveaux Millénaires)
Anne Coldefy-Faucard pour Telluria de Vladimir Sorokine (Actes Sud)
Mathias De Breyne pour Kalpa Impérial de Angélica Gorodischer (La Volte)
Pierre-Paul Durastanti pour les inédits de Danses aériennes de Nancy Kress (Le Bélial’ et Quarante-Deux)
Gilles Goullet pour Autorité de Jeff VanderMeer (Au diable vauvert)
Jean-François Le Ruyet pour Bagdad, la grande évasion ! de Saad Z. Hossain (Agullo)
Valérie Malfoy pour Des vampires dans la citronneraie de Karen Russell (Albin Michel)
Théophile Sersiron pour The Only Ones de Carola Dibbell (Le Nouvel Attila)

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