Outlaw Planet - MR Carey

Tu te rappelles peut-être, lecteur, que j’avais beaucoup aimé le cycle du Pandominion de MR Carey. Multivers, guerre multiverselle, IA et humanoïdes divers, il y avait de tout dans ce cycle qui se terminait par une monstrueuse conflagration. MR Carey revient aujourd’hui au multivers avec Outlaw Planet . Est-ce pour le meilleur ? Pas sûr (en dépit des quelques bonnes reviews) . Outlaw Planet est l’histoire de Dog Bitch Bess, une hors la loi sur un monde qui rappelle furieusement celui de la Guerre de Sécession, avec « Sudistes », « Nordistes », « Indiens ». C’est aussi l’histoire de son arme, Wakeful Slim, un blaster IA aux nombreuses possibilités. C’est enfin celle du Engine Everlasting et des 23, un mythe indigène lié à un groupe perdu appelé les Précurseurs qui a laissé au monde d’immenses tours dont aucun autochtone ne connaît la fonction. Outlaw Planet est un récit qui se déploie sur deux fils, l’un sensiblement plus long que l’autre. Le premier fil ...

La peau sur les os - Stephen King (Richard Bachman)

A le lecture de "La peau sur les os", de Stephen King, on se dit que, parfois, il vaut mieux ne pas perdre les trois petits kilos qui nous permettront de faire sensation sur la plage et d'être la reine de l'été. Je vais les garder je crois. Ca tombe bien, les Dad Bods sont à la mode.

Je ne peux en dire plus car ma chronique sera dans le Bifrost n° 80, et elle ne reviendra ici qu’un an après la sortie de la revue (c’est à dire, pfff…).

Je peux au moins donner le résumé de la couv’ car celui-ci est disponible partout :

Maigrir, Billy Halleck ne demandait pas mieux. Ses cent dix kilos n’étaient-ils pas le seul problème de ce paisible avocat, mari et père comblé, dans sa petite ville du Connecticut ? Et puis un vieux chef gitan l’a touché du doigt en lui disant : « Maigris ! » Après avoir tué accidentellement une femme de la tribu, Billy venait quasiment d’être innocenté par ses amis les notables, juge et policier… De fait, Billy se met à maigrir de façon alarmante. Jusqu’au moment où il comprend qu’il est victime d’un maléfice, vengeance impitoyable des gens du voyage méprisés et chassés de partout dans l’Amérique des « hommes blancs de la ville ». Quelques semaines plus tard, il ne reste de lui qu’un fantôme hagard, au bord de la folie, menant un dernier combat avec son seul ami, un mafieux sicilien, pour tenter de lever le sortilège…
Ce premier roman signé Bachman est un mélange détonant de terreur et d’humour noir. Une fable violente, aussi, où le conformisme bien-pensant se voit confronté à une magie ancestrale, aux forces inconnues qui habitent notre monde.

Voila. Rien de plus. Sinon voici ce qui m'attend :

Commentaires

Lune a dit…
J'avais pas percuté, Bifrost 80 sur King ! Yeah !! J'espère qu'il y aura un bel article sur La Tour sombre !
Gromovar a dit…
Tu peux y compter.
Lune a dit…
génial ! j'achète !