La Cité des marches - Robert Jackson Bennett

Bulikov, la capitale du Continent. Autrefois une ville grande et puissante, le centre du monde. Aujourd’hui une ville conquise, en partie détruite. Rome après Alaric. Kind of. Dans le monde de La Cité des marches , dernier roman traduit en français de Robert Jackson Bennett et premier volume de le trilogie des Cités divines , il y a le Continent et le reste – ce centre-périphérie théorisé au XIV siècle par le grand historien arabe Ibn Khaldoun . Et, comme dans l’analyse de ce dernier, la périphérie a fini par conquérir le centre, en l’occurrence le Continent ; rien d’étonnant, ce n’est qu’à la périphérie que résident la force et la détermination nécessaires à la guerre. Concrètement, c’est une révolte conduite avec succès il y a plusieurs décennies par le Kaj qui a abattu l’empire continental et ses dieux. La chute des uns entrainant celle de l'autre. Car tu dois le savoir, lecteur, le pouvoir sans égal du Continent était le fruit des « miracles » de ses six dieux, incarnés dans le

La peau sur les os - Stephen King (Richard Bachman)

A le lecture de "La peau sur les os", de Stephen King, on se dit que, parfois, il vaut mieux ne pas perdre les trois petits kilos qui nous permettront de faire sensation sur la plage et d'être la reine de l'été. Je vais les garder je crois. Ca tombe bien, les Dad Bods sont à la mode.

Je ne peux en dire plus car ma chronique sera dans le Bifrost n° 80, et elle ne reviendra ici qu’un an après la sortie de la revue (c’est à dire, pfff…).

Je peux au moins donner le résumé de la couv’ car celui-ci est disponible partout :

Maigrir, Billy Halleck ne demandait pas mieux. Ses cent dix kilos n’étaient-ils pas le seul problème de ce paisible avocat, mari et père comblé, dans sa petite ville du Connecticut ? Et puis un vieux chef gitan l’a touché du doigt en lui disant : « Maigris ! » Après avoir tué accidentellement une femme de la tribu, Billy venait quasiment d’être innocenté par ses amis les notables, juge et policier… De fait, Billy se met à maigrir de façon alarmante. Jusqu’au moment où il comprend qu’il est victime d’un maléfice, vengeance impitoyable des gens du voyage méprisés et chassés de partout dans l’Amérique des « hommes blancs de la ville ». Quelques semaines plus tard, il ne reste de lui qu’un fantôme hagard, au bord de la folie, menant un dernier combat avec son seul ami, un mafieux sicilien, pour tenter de lever le sortilège…
Ce premier roman signé Bachman est un mélange détonant de terreur et d’humour noir. Une fable violente, aussi, où le conformisme bien-pensant se voit confronté à une magie ancestrale, aux forces inconnues qui habitent notre monde.

Voila. Rien de plus. Sinon voici ce qui m'attend :

Commentaires

Lune a dit…
J'avais pas percuté, Bifrost 80 sur King ! Yeah !! J'espère qu'il y aura un bel article sur La Tour sombre !
Gromovar a dit…
Tu peux y compter.
Lune a dit…
génial ! j'achète !