Justine Niogret - Calamity Jane, un homme comme les autres

IL SORT AUJOURD'HUI «  Que vous sert, courtisane imparfaite, de n'avoir pas connu ce que pleurent les morts ?  » C'est par ces mots que Baudelaire concluait son Remords posthume . Dans un genre et pour une vie largement différents, ces mêmes mots pourraient s'appliquer à la Calamity Jane racontée par Justine Niogret. Calamity Jane donc. Tout le monde la connaît, même ceux, dont je suis, qui ne savent à peu près rien d'elle. Légende de l'Ouest, femme pistolera, Jane est de ces figures dont on sait le nom sans pouvoir se rappeler quand ni comment on l'a entendu pour la première fois, comme Billy le Kid, Davy Crockett ou Buffalo Bill (dont le Wild West Show, auquel appartint Calamity Jane, fit une escale à Marseille en 1905 - sans Jane, à cette date elle était morte et enterrée depuis deux ans) . Calamity Jane donc. Dont le vrai nom était Martha Jane Cannary et qui était née en 1856 dans une famille pauvre de Princeton, Missouri. Première de six enfants, Martha...

The boat of a million years, Poul Anderson


"The boat of a million years" raconte une histoire d'immortels qui parcourent le monde pendant des millénaires. C'est bon, mais c'est long.

Je ne peux en dire plus car ma chronique sera dans le Bifrost n° 75, et elle ne reviendra ici qu’un an après la sortie de la revue (c’est à dire, pfff…).

Je peux au moins donner le résumé de la couv’ car celui-ci est disponible partout :

Others have written SF on the theme of immortality, but in The Boat of a Million Years, Poul Anderson made it his own. Early in human history, certain individuals were born who live on, unaging, undying, through the centuries and millenia. We follow them through over 2000 years, up to our time and beyond-to the promise of utopia, and to the challenge of the stars.

Voila. Rien de plus. Sinon voici ce qui m'attend :



Commentaires

Escrocgriffe a dit…
"Voila. Rien de plus. Sinon voici ce qui m'attend : »

Ca ne rigole pas !
Gromovar a dit…
Vraiment pas.