Les Diables est le dernier roman de Joe Abercrombie, le pape du grimdark. C'est un roman fantasy/action très dynamique, sanglant, violent et parfois drôle. Il est aussi plus profond que son début ne le laissait présager, et c'est le traitement des personnages qui fait sa qualité. Je ne peux en dire plus car ma chronique sera dans le Bifrost n° 120, et elle ne reviendra ici qu’un an après la sortie de la revue (c’est à dire, pfff…). Je peux au moins donner le résumé de la couv’ car celui-ci est disponible partout : L’Europe est au bord du gouffre. La peste et la famine la ravagent, des monstres rôdent dans l’ombre et des princes avides ne songent qu’à leurs dévorantes ambitions. Une seule certitude demeure : les elfes reviendront, et ils mangeront tout le monde. Mais parfois, les chemins les plus sombres mènent à la lumière. Des routes sur lesquelles les Justes n’ont pas l’audace de s’engager. Enfouie dans les entrailles du splendide Palais Céleste, le fief de la foi...
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Commentaires
Bon faut que j'aille me l'acheter demain... Pfff...
Ça m'a l'air bien sympathique cette bd.
Pour ce qui est du gore, ça ne me dérange jamais, au contraire. J'ai trop eu l'habitude des héros qui combattaient sans sang ni bleus et je suis content du virage adulte de l'édition (quand on plante des griffes de métal dans le ventre d'un gars, ça saigne, et fort, ou alors il faut raconter des histoires de Flash qui règle tout à coup de poings ou de tourbillons venteux).
Pour le dernier épisode, je pense que Millar a voulu satisfaire le fandom et leur rendre Wolverine. Ce n'était effectivement pas indispensable mais ça ne m'a pas géné outre mesure.
Le dernier épisode coulait de source, un bon défouloir.
Vais aller éditer mon billet pour l'indexer au challenge.