L’Amulette est le dernier roman de Michael McDowell publié par Monsieur Toussaint Louverture dans une traduction de Laurent Vannini. Encore une fois c’est un beau livre, encore une fois vendu (si on le commande sur le site) avec de jolis goodies réalisés avec amour par l’éditeur. Alabama, 1960, dans la petite ville de Pine Cone, près de Fort Rucca. C’est la guerre du Vietnam et des soldats sont formés pour être envoyés en Asie du Sud-Est (étrangement, McDowell semble suggérer un draft alors qu’il semble que ce système n’ait pas été utilisé aussi tôt, à voir) . Parmi les soldats s'entrainant à Fort Rucca, il y a Dean Howell, un jeune homme assez peu sympathique de Pine Cone, qui a cherché à ne pas être incorporé. Comme le reste des habitants de la ville, Dean a tenté de se faire embaucher à l’usine de fusils de Pine Cone pour devenir non sélectionnable, mais ça n’a pas pu se faire. Seule sa femme Sarah a été recrutée, sur un poste pour femme, différent de ceux auxquels Dean aurait...
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Commentaires
Bon faut que j'aille me l'acheter demain... Pfff...
Ça m'a l'air bien sympathique cette bd.
Pour ce qui est du gore, ça ne me dérange jamais, au contraire. J'ai trop eu l'habitude des héros qui combattaient sans sang ni bleus et je suis content du virage adulte de l'édition (quand on plante des griffes de métal dans le ventre d'un gars, ça saigne, et fort, ou alors il faut raconter des histoires de Flash qui règle tout à coup de poings ou de tourbillons venteux).
Pour le dernier épisode, je pense que Millar a voulu satisfaire le fandom et leur rendre Wolverine. Ce n'était effectivement pas indispensable mais ça ne m'a pas géné outre mesure.
Le dernier épisode coulait de source, un bon défouloir.
Vais aller éditer mon billet pour l'indexer au challenge.