Mon cœur est une tronçonneuse - Stephen Graham Jones

Jade Daniels est en dernière année de lycée dans la petite ville de Proofrock, Idaho. Demi-indienne par son père (tendance Blackfeet) , mal dans sa peau, JD, qui vit avec ce paternel indien alcoolo qu’elle déteste, est une espèce de punkette locale que tout le monde connaît, et pas en bien. Seul plaisir d’une vie très solitaire, JD adore les films de slashers , qu’elle regarde passionnément et dont elle a une connaissance encyclopédique. Et voilà qu’elle pense repérer des signes identifiant les débuts d’activité d’un de ces tueurs solitaires dans sa ville même. Entre cinéma et réalité, JD va tenter de négocier au mieux cette menace existentielle. Mon cœur est une tronçonneuse est un roman de Stephen Graham Jones. C’est un hommage à un genre cinématographique qu’il adore et auquel il a déjà donné un excellent roman : Un bon indien est un indien mort . Qu’en est-il ici ? Cette chronique de Mon cœur est une tronçonneuse est garantie sans spoiler ni sur le qui, ni sur le pourquoi, ni sur

Cedric Ferrand online and free


Djeunz’
Tu veux partagé de l’exotisme, du cynisme, de l’aventure, du fantastique (comme Jessica Alba). Gratui. Nik Hadopi.
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Commentaires

Gromovar a dit…
Non Cédric toi tu lé za déja. Si tu les télécharge ça nike pas Hadopi.
arutha a dit…
Ta prose n'est pas crédible : il n'y a pas assez de fautes.
Gromovar a dit…
Tu as raison.
Le mieux que j'ai vu c'est vis et vers ça, et ils étaient toussent différents.
Hélène Louise a dit…
Très jolie présentation du maître des lieux, hélas pas tout à fait crédible, l'incultisme étant un art inimitable... (et un mot absent du dictionnaire de google, mais la pauvre fait ce qu'il peut).
Mais c'est *trop chou* quand même, bravo ! :)

La nouvelle a une excellente teinte de mauvaise grâce/ foi et de bonne volonté typique de l'ado rebelle dans le verbe, mais serviable dans les faits, c'est très réussi !
Je ne suis pas tout à fait convaincue de l'appétit quasi zombiesque de petits vieux anosmiques et agueusiques, mais je l'accorde au nom de l'Art (quoi ? oui bon j'ai triché, internet c'est fait aussi pour ça, hein).
Et je tiens à signaler, en tant que mère d'adolescents, que leur faire honte est un privilège voluptueux, une juste compensation et même un devoir sacré... ^-^