Jade Daniels est en dernière année de lycée dans la petite ville de Proofrock, Idaho. Demi-indienne par son père (tendance Blackfeet) , mal dans sa peau, JD, qui vit avec ce paternel indien alcoolo qu’elle déteste, est une espèce de punkette locale que tout le monde connaît, et pas en bien. Seul plaisir d’une vie très solitaire, JD adore les films de slashers , qu’elle regarde passionnément et dont elle a une connaissance encyclopédique. Et voilà qu’elle pense repérer des signes identifiant les débuts d’activité d’un de ces tueurs solitaires dans sa ville même. Entre cinéma et réalité, JD va tenter de négocier au mieux cette menace existentielle. Mon cœur est une tronçonneuse est un roman de Stephen Graham Jones. C’est un hommage à un genre cinématographique qu’il adore et auquel il a déjà donné un excellent roman : Un bon indien est un indien mort . Qu’en est-il ici ? Cette chronique de Mon cœur est une tronçonneuse est garantie sans spoiler ni sur le qui, ni sur le pourquoi, ni sur
- Obtenir le lien
- Autres applications
Commentaires
J'ai aimé ce Brussolo, mais c'est un auteur tellement aléatoire...
"C'est là...dans l'ourlet qui contient l'élastique, qu'on a disposé les épines. Ce sont de petits clous à trois pointes, pratiquement microscopiques...Ils vont, ils viennent, râpant, irritant le tour de taille et le creux de chaque aine."
"Les slips attaquent la taille, la face interne des cuisses...les soutiens gorges s'en prennent principalement aux épaules, aux clavicules...Le dessous des seins reste bien sûr la partie la plus sensible."
"Gurtha tournait lentement sur elle-même, la jupe toujours troussée, offrant sa croupe aux regards. Les ourlets du slip avaient dessiné des balafres rosâtres sur la chair blanche. Au creux de chaque aine, de part et d'autre du renflement, on devinait des croutes plus anciennes."