Lecture de Volna par Christophe Siébert

Hier, 13 septembre - veille de la première Journée Annuelle du Sport décrétée par notre commémorateur en chef afin qu'après avoir dû supporter musiciens amateurs et plateaux convenus de la télé publique une fois par an depuis des décennies nous soyons dorénavant contraints à faire de même, à une autre date, pour des sportifs amateurs vibrionnant dans des bacs à sable improvisés et des célébrités belles et bonnes défilant sur France Télévision -, hier donc, dans un tout autre registre, Marie Debilly Cerisier lisait de la poésie à la libraire L'hydre aux mille têtes. Et c'était fort. Après ce moment de poésie, c'est Christophe Siébert qui a lu de longs passages de son dernier roman, Volna . L'un comme l'autre était accompagnés par l'ambiance musicale de Mauricio Amarante qui ajoutait un contexte glaçant aux lectures. Qu'il en soit remercié ! Ci-dessous donc, deux courts moments de lecture, où l'on voit que, jusqu'à Mertvecgorod, le grand Michaël M

Paolo Tortonese - "Réécriture, lecture, censure"


Une fois n'est pas coutume je vais ici me taire et me contenter de relayer la parole d'un autre, celle de Paolo Tortonese, écrivain et professeur HDR à Paris 3.

Pour éviter tout malentendu sur le droit d'auteur je ne copie pas ici le texte brillant de Tortonese mais vous invite à aller le lire en cliquant sur ce lien. Enjoy !

Commentaires

Olivier Chipiron a dit…
J'ai plutôt tendance à m'exaspérer des angoisses souvent outrées que provoque le fûmeux "wokisme". Je m'attendais à grommeler une fois encore mais le fait est qu'en effet ce texte est très pertinent. (Je me serais passé de la caution psychanalytique mais c'est une marotte plutôt qu'un argument).
Gromovar a dit…
Il est très bien argumenté en effet.
La psychanalyse est presque un détail ;)