Ascension - Martin MacInnes

Une purge !!! Je ne peux en dire plus car ma chronique sera dans le Bifrost n° 117, et elle ne reviendra ici qu’un an après la sortie de la revue (c’est à dire, pfff…). Je peux au moins donner le résumé de la couv’ car celui-ci est disponible partout : Leigh a toujours été attirée par la mer. Dans son enfance, à Rotterdam, elle plongeait dans les eaux de la mer du Nord pour échapper à une vie de famille malheureuse et à un père instable. Adulte, elle décide de se consacrer à la biologie marine et d’arpenter le globe pour étudier des organismes anciens. Après la découverte d’une fosse en plein océan Atlantique, Leigh se joint à une équipe de recherche dans l’espoir d’y détecter la trace des premières formes de vie terrestre, mais ce quelle trouve remet en question tout ce que nous croyons savoir sur nos origines.    Ses recherches la conduisent bientôt dans le désert de Mojave, au sein d’une nouvelle agence spatiale d’une ambition sans précédent. Toujours plus impliquée dans

Petits Conan Doyle de voyage

Les vacances sont pleines de nombreux moments interstitiels. Attente du départ d'un moyen de transport, trajet plus ou moins long de celui-ci lorsqu'enfin il a daigné se mettre en mouvement, temps de réflexion du douanier autochtone qui se demande - backstage - si le bakchich est assez élevé, queue dans une file d'attente, espoir fou d'une prochaine prise de commande au restaurant - ces minutes de solitude durant lesquels on a l'impression d'avoir enfilé l'Anneau Unique -, tant d'autres encore d'autant plus nombreux qu'on s'éloigne de l'aire linguistique européenne. Sans compter, pour tous ceux qui ont participé à la surcharge humaine de la planète, ces récurrences d'attentes que ceci ou cela soit fait par de petites personnes qui savaient pourtant depuis des heures qu'elles comportaient une deadline impérative.

Qu'à cela ne tienne, grâce à Wikisource, plonger dans l’œuvre de Conan Doyle (romans et nouvelles) en accès et lecture libres, parfois même téléchargeables en epub ou mobi.


J'amorce la pompe avec "Le Train perdu", en raison de deux détails : d'abord un bout de Marseille dedans (même si c'est la prison - mais est-ce étonnant ?) et surtout car il y est question de manière allusive d'un célèbre logicien londonien "à qui ses spéculations avaient valu quelque notoriété".

 C'est sans prétention mais ça passe le temps, et c'est déjà énorme.

Commentaires

Lhisbei a dit…
Tu es vraiment fâché avec les vacances toi :)
Gromovar a dit…
Et je l'ai toujours été, même enfant ;)