Cullen Bunn - Bones of our stars, Blood of our world

Scénariste de comics et romancier, ce n'est apparemment pas le même set de compétences. C'est la conclusion qu'on doit tirer de la lecture de Bones of our stars, Blood of our world , le premier roman du scénariste Cullen Bunn . Là où un comic peut se permettre d'être frénétique, ici trop de personnages se succèdent trop vite dans une histoire convenue qui ne parvient même pas à être gore alors que c'est cette direction qu'elle vise. Ajoutons-y, pour faire bonne mesure, une écriture sans éclat, une enfilade de narrations à la troisième personne qui empêche tout investissement émotionnel, et l'éternelle petite ville insulaire en décrépitude dans laquelle on s'emmerde grave. Nihil novi sub sole , ça a été déjà fait, et beaucoup mieux. Passe ton chemin, lecteur !

Les Mystères de Paris - 1 Le tapis-franc


Un mot d'introduction (qui sera la dernière intervention hors texte) :
Commence aujourd’hui le résumé des Mystères de Paris. L'objectif est d'un chapitre par jour (sauf empêchement, à l'impossible nul n'est tenu), résumé en 1000 caractères maximum (cette limite changera si indispensable mais tentons de nous y tenir le plus possible).
S'associent à cette aventure Julien et Philippe.
On pourra suivre le feuilleton ici jour par jour ou à partir du récapitulatif général. Relais sera fait sur FB et sur Twitter avec le hashtag #LMDPMarathon.
Commence l'aventure.

1- Le tapis-franc

Où Eugène Sue prévient le lecteur de la barbarie si proche dans laquelle il veut le faire plonger. Du meurtre et du sang qu'il verra. Celui que fait couler la race infernale qui peuple les échafauds, celui qui coule aussi de ses blessures impures.
Où on parcourt nuitamment pour la première fois les venelles sordides qui environnent le Palais de Justice.
Où on rencontre le déplaisant Chourineur, ancien bagnard et terreur locale, qui tente de forcer la Goualeuse, une femme du cru, à lui payer l'eau de vie. Elle refuse, ils se battent.
Où intervient un mystérieux étranger qui met le Chourineur à terre.
Où l'étranger, vainqueur, offre le souper aux deux gouapes, au crasseux Cabaret du Lapin Blanc.
Est-ce prudent ? Qui est-il ? Pourquoi un homme entrevu l'a-t-il appelé Monseigneur ?

Commentaires

Anonyme a dit…
Tiberix: Oula... ça ne fait pas rêver.
Gromovar a dit…
Side project.