La grande muraille de Mars - Alastair Reynolds

La grande Muraille de Mars est la version française du méga recueil d’Alastair Reynolds intitulé en VO  Beyond the Aquila Rift . Dans des traductions de Pierre-Paul Durastanti, Laurent Queyssi et Florence Dolisi, ce sont pas moins de 16 textes (2 de moins que dans la VO) qui s’étalent sur 640 pages. Au fil de ces milliers de signes c’est l’avenir imaginé par Alastair Reynolds qui se dévoile aux yeux ébahis du lecteur amoureux de SF. Car c’est bien de SF qu’il s’agit ici. Toujours. Même quand ça peut ressembler à autre chose. Certains de ces textes appartiennent au Cycle des Inhibiteurs , ce cycle bien connu de notre club qui raconte l’histoire future d’une humanité spatiopérégrine et divergente dont les différentes branches, souvent en conflit armé, se distinguent par leur degré de fusion avec les machines. C’est le cas notamment des deux premiers, La grande muraille de Mars et Zéphyr qui racontent, de transhumanisme en tentative de génocide, les débuts de la divergence et les ...

East of West 1 - La promesse : Non tenue

Tome 1 de la série East of West, intitulé "La promesse".

Au secours ! Depuis quelques jours,  j'ai pas la gagne :(

Une uchronie dans laquelle la Guerre de Sécession a pris quand quand une météorite s'est opportunément écrasée sur Terre. Pas d'USA mais Sept Nations d'Amérique, bordées d'on ne sait pas trop quoi (des Badlands ou un truc du genre, n'oublions que dans Badlands, ya Bad, c'est bien pour les gars qu'ont bien de la testostérone). Sept Elus qui doivent hâter l'Apocalypse (je mets des majuscules partout, ça montre bien que c'est très important) avec l'aide d'une Mort dont on ne sait pas trop ce qu'il/elle veut (mais il a un bébé, à sauver sûrement, comme Balavoine, mon Dieu que c'est beau) et de trois autres Cavaliers réincarnés en enfants (tant qu'à faire) qui ont perdu leur frère, égaré par l'amour. C'est beau à mourir.

Une histoire, qui croit que des circonvolutions sont un signe de qualité, racontée dans ce style inimitable sentencieux et grandiloquent qui caractérise les backgrounds bodybuildés et absurdes des jeux de rôle par ordinateur.

Des dessins pas fameux, style manga sans en être, foireux.

Passe ton chemin, étranger !

East of West t1, La promesse, Hickman, Dragotta, Martin

Commentaires

Alexandre a dit…
Aïe !! J'ai connu l'auteur de ce site plus inspiré dans ses critiques... C'est court et non-argumenté. D'autant que ce 1er tome est, certes, plus faible que les suivants mais n'est pas non plus une purge... En plus, je ne suis pas d'accord, les dessins de Dragotta sont très bons (scènes dynamiques, décors impressionnants).
Gromovar a dit…
Je plaide coupable. C'est en effet court et non argumenté. Au rythme où je lis et poste, parfois, je n'ai pas le courage d'argumenter sur les ouvrages que je n'ai vraiment pas aimé. C'est le cas ici.

Crois au moins que je ne fais pas d'effet de manche pour le plaisir d'en faire et que, s'il est vrai que j'ai très peu développé, j'assume chacun des mots que j'ai écrits dans la chro. J'aurais pu - du ? - faire plus long, certes, mais la tonalité aurait été exactement la même.

J'espère que tu continueras quand même de visiter ces lieux.
Alexandre a dit…
Pas de souci... tu nous as juste habitués à mieux... bonne continuation