L'Oiseau qui boit des larmes - Lee Young-Do

L’Oiseau qui boit des larmes (tome 1, Le Cœur des Nagas) est un roman de Lee Young-Do, premier tome d’une tétralogie de fantasy. Son auteur serait « Le Tolkien coréen » si l’on en croit le sticker apposé sur la couverture. Diable ! Qu’en est-il ? Le monde imaginé par Lee Young-Do est divisé en deux par une Ligne imaginaire. Au sud de celle-ci vivent les Nagas. Ils s’y sont installés non sans violence dans un lointain passé. Au nord on trouve les autres « humains », qu’ils soient Standards, Rekkons, ou Tokkebis. Les Nagas sont petits. Ils ont le corps couvert d’écailles. Ils entendent mal, ce qui fait qu’ils parlent beaucoup moins qu’ils ne nilhent (une forme de communication par la pensée) . Ils voient en revanche très bien, notamment les différences de température. Ils vivent dans une société matriarcale, sous la domination de matrones qui traitent les mâles comme un cheptel reproducteur – à l’exception des Protecteurs qui ont épousé la déesse et la servent dans un...

Sociologie de Marseille c/o La vie des Idées

Cela fait un bon mois que je veux chroniquer le très intéressant "Sociologie de Marseille" de Péraldi, Duport, Samson. Je n'ai pas trouvé le temps de le faire et voila que je tombe sur une fiche de lecture exhaustive publiée par Pierre Olivier Weiss sur le site La vie des Idées. J'en ai perdu le peu de motivation qui me restait pour écrire une chronique hors ligne éditoriale du blog alors même que je dois consacrer tant de temps à cette dernière. Mes incursions hors-cadre s'en raréfient par nécessité.

Je renvoie donc ceux d'entre vous qui peuvent être intéressés par le sujet à la fiche de Pierre Olivier Weiss.

Sur un sujet seulement en partie connexe, et la maison ne reculant devant aucun sacrifice, je profite de l'occasion pour braquer le projecteur sur le très bon "Ghetto urbain", de Lapeyronnie, qui en apprendra long sur le fonctionnement des quartiers sensibles à tous ceux qui en parlent sans y avoir jamais mis les pieds. Il fait l'objet d'une recension par Thierry Oblet sur le même site.

Commentaires

Anonyme a dit…
Tiberix : Livre mesuré et sans charge idéologique forte. Marseille est depuis une quinzaine d'année pour moi une utopie post-apocalyptique. Ce qu'il resterait d'une société vivant dans les ruines d'une civilisation passée. Du coup et absence de cannibalisme avéré, l'optimisme est possible.
Gromovar a dit…
Je discutais il y a peu avec quelqu'un qui me disait qu'il avait l'impression qu'une renaissance était en train de poindre. Mystère.
Anonyme a dit…
Tiberix : La fête de la musique ?
Gromovar a dit…
Le Bubble Run sans doute ;)