Daredevil Redemption - Hine - Gaydos

Redemption, Alabama. Un enfant du coin est retrouvé tué et mutilé. Après une enquête expéditive le shérif et ses hommes mettent la main sur trois suspects qui font des coupables idéals. Deux garçons et une fille du coin, se disant satanistes tous les trois. Dans le contexte explosif de la mort d’un enfant dans une petite communauté l’affaire est pliée, c’est la chaise électrique qui attend les trois jeunes en dépit de leurs protestations d’innocence. Cette affaire désespérée, pourtant, c’est le brillant Matt Murdoch, plus connu sous le nom de Daredevil, qui la prend en charge en défense de l’accusé principal, sur l’insistance d’une mère sure de l’innocence de son fils. En terrain hostile, l’avocat new-yorkais mettra toute son énergie à disculper son client et à découvrir le vrai coupable. Car, dans une ville où le fanatisme religieux règne et où de sombres secrets obscurcissent la vue, seul l'aveugle qu'il est peut espérer y voir clair. Daredevil Redemption est un one-shot réé

Sociologie de Marseille c/o La vie des Idées

Cela fait un bon mois que je veux chroniquer le très intéressant "Sociologie de Marseille" de Péraldi, Duport, Samson. Je n'ai pas trouvé le temps de le faire et voila que je tombe sur une fiche de lecture exhaustive publiée par Pierre Olivier Weiss sur le site La vie des Idées. J'en ai perdu le peu de motivation qui me restait pour écrire une chronique hors ligne éditoriale du blog alors même que je dois consacrer tant de temps à cette dernière. Mes incursions hors-cadre s'en raréfient par nécessité.

Je renvoie donc ceux d'entre vous qui peuvent être intéressés par le sujet à la fiche de Pierre Olivier Weiss.

Sur un sujet seulement en partie connexe, et la maison ne reculant devant aucun sacrifice, je profite de l'occasion pour braquer le projecteur sur le très bon "Ghetto urbain", de Lapeyronnie, qui en apprendra long sur le fonctionnement des quartiers sensibles à tous ceux qui en parlent sans y avoir jamais mis les pieds. Il fait l'objet d'une recension par Thierry Oblet sur le même site.

Commentaires

Anonyme a dit…
Tiberix : Livre mesuré et sans charge idéologique forte. Marseille est depuis une quinzaine d'année pour moi une utopie post-apocalyptique. Ce qu'il resterait d'une société vivant dans les ruines d'une civilisation passée. Du coup et absence de cannibalisme avéré, l'optimisme est possible.
Gromovar a dit…
Je discutais il y a peu avec quelqu'un qui me disait qu'il avait l'impression qu'une renaissance était en train de poindre. Mystère.
Anonyme a dit…
Tiberix : La fête de la musique ?
Gromovar a dit…
Le Bubble Run sans doute ;)