L'Oiseau qui boit des larmes - Lee Young-Do

L’Oiseau qui boit des larmes (tome 1, Le Cœur des Nagas) est un roman de Lee Young-Do, premier tome d’une tétralogie de fantasy. Son auteur serait « Le Tolkien coréen » si l’on en croit le sticker apposé sur la couverture. Diable ! Qu’en est-il ? Le monde imaginé par Lee Young-Do est divisé en deux par une Ligne imaginaire. Au sud de celle-ci vivent les Nagas. Ils s’y sont installés non sans violence dans un lointain passé. Au nord on trouve les autres « humains », qu’ils soient Standards, Rekkons, ou Tokkebis. Les Nagas sont petits. Ils ont le corps couvert d’écailles. Ils entendent mal, ce qui fait qu’ils parlent beaucoup moins qu’ils ne nilhent (une forme de communication par la pensée) . Ils voient en revanche très bien, notamment les différences de température. Ils vivent dans une société matriarcale, sous la domination de matrones qui traitent les mâles comme un cheptel reproducteur – à l’exception des Protecteurs qui ont épousé la déesse et la servent dans un...

Zombie chansonnier


On sait, ou pas, que j'apprécie beaucoup la série "Zombies" de Peru et, souvent, Cholet. Je me réjouissais donc de la sortie de ce spin-off censé faire la lumière sur les premiers moments de l'invasion. Erreur grave !

Début de l'invasion, effondrement du politique, défection d'un garde du corps de la Présidence de la République partant rejoindre sa femme en Suisse en compagnie d'un ancien de la DGSE peut-être porteur d'une solution à la crise. Pourquoi pas ?

Problèmes : le dessin n'est pas beau, et les analyses anarco-populistes de Peru auraient plus leur place en stand-up que dans une BD de zombies, elles y caresseraient à merveille l'opinion commune dans le sens du poil. L'album met en exergue le « N'être pas écouté, ce n'est pas une raison pour se taire » de Victor Hugo ; je me demande si ici justement...

Zombies Nechronologies, t1 Les misérables, Peru, Petrimaux

Commentaires

Phooka a dit…
bon, j'avais justement hésité à l'acheter ... Je crois que je vais attendre "voir" !:)
Gromovar a dit…
Mieux je crois. C'est un "tous pourris" qui entraine un malaise par sa banalité convenue.