Mauvaise graine - Octavia Butler

Mauvaise graine est le premier volume diégétique de la série Patternist d'Octavia Butler , même s'il n'a été publié qu'en quatrième position, après Le Maître du réseau , Le Motif , La Survivante (désavoué par Butler elle-même dès 1981) , et avant Humains, plus qu'humains . Il est publié aujourd'hui en français Au Diable Vauvert , l'éditeur emblématique d'Octavia Butler. XVIIIe siècle, Ouest de l'Afrique. Doro ressemble à un homme africain. Ressemble seulement car il est plus que cela, Doro est un esprit généré il y a 3700 ans en Nubie. Il passe depuis de corps en corps, tel un vampire psychique qui détruit la conscience de ceux qu'il habite lorsqu'il s'installe pour un temps dans leur enveloppe charnelle. Bernard-l'hermite mental, Doro use en accéléré le corps de son hôte/victime puis l'abandonne à la mort lorsqu'il saute dans un autre corps qui remplira pour lui la même fonction. Anyanwu est une guérisseuse âgée de plus de...

Bos taurus draco


Je confirme, après lecture de la VO, tout le bien que TiberiX pensait du Nom du Vent.

Trois petites nuances qui ne changent pas mon avis globalement très positif :

Le roman est un peu trop long. Je pense qu'avec 80 pages de moins il aurait été plus ramassé et plus efficace. Certaines scènes sont trop longues.

Le world-building est minimal. Peu existe hors de la vue du narrateur.

Le gimmick "je ne sais pas comment séduire les filles, ni comment agir avec une" me parait poussé au-delà du raisonnable.

Rien de rédhibitoire. Je lirai le tome 2, "The wise man's fear".

The name of the wind, Patrick Rothfuss

Commentaires

Acr0 a dit…
Bon ce n'est pas la chronique du cri du coeur, mais c'est pas mal :)
Il faut quant à moi le relire pour être prête pour le tome 2 (quoique sa publication programmée en deux tomes par Bragelonne me hérisse le poil (oui je l'ai déjà dit sur la chronique de TiberiX, je sais))
Gromovar a dit…
Life is hard and then you die ;)
Céline a dit…
J'ai bien aimé The Name of the wind, mais je garde des réserves. Je trouve les passages se passant dans le présent, dans l'auberge, complètement prenants et vraiment novateurs.
En revanche, le récit en lui même est d'une banalité affligeante.
Gromovar a dit…
Comment as-tu pu bien aimer le roman si tu n'as pas aimé le récit qui représente 90% du texte ?
Efelle a dit…
Ben si c'est Gromovar Approved, hein...
J'attendrai toutefois le dernier tome pour m'avaler tout ça d'un coup.
Gromovar a dit…
Tu as du temps devant toi.