La grande muraille de Mars - Alastair Reynolds

La grande Muraille de Mars est la version française du méga recueil d’Alastair Reynolds intitulé en VO  Beyond the Aquila Rift . Dans des traductions de Pierre-Paul Durastanti, Laurent Queyssi et Florence Dolisi, ce sont pas moins de 16 textes (2 de moins que dans la VO) qui s’étalent sur 640 pages. Au fil de ces milliers de signes c’est l’avenir imaginé par Alastair Reynolds qui se dévoile aux yeux ébahis du lecteur amoureux de SF. Car c’est bien de SF qu’il s’agit ici. Toujours. Même quand ça peut ressembler à autre chose. Certains de ces textes appartiennent au Cycle des Inhibiteurs , ce cycle bien connu de notre club qui raconte l’histoire future d’une humanité spatiopérégrine et divergente dont les différentes branches, souvent en conflit armé, se distinguent par leur degré de fusion avec les machines. C’est le cas notamment des deux premiers, La grande muraille de Mars et Zéphyr qui racontent, de transhumanisme en tentative de génocide, les débuts de la divergence et les ...

Defi Steampunk


Le steampunk. Sur le fond, l'idée me plait, sur la forme, je n'ai pas toujours été convaincu, loin s'en faut. Si ce n'est par l'excellent The Difference Engine de Sterling et Gibson, mais il faut dire que c'est Sterling et Gibson.
Je retente (un peu) le coup à l'occasion du défi initié par Lord Orkan von Deck dans la catégorie Aéronaute novice, et je prévois de lire "Les grandes profondeurs" de René Réouven et "The strange affair of Spring-Heeled Jack" de Mark Hodder (celui-là je le sens bien parce que dedans il y a l'énorme Sir Richard Francis Burton, sorte d'Hémingway steampunk qui fut l'un des premiers occidentaux à entrer, déguisé, à la Mecque).

J'ai déjà chroniqué dans ce style :

Sentinelles 3 et 1/2

Léviathan

Boneshaker

L'âge des lumières

Extraordinary engines

Tanatos 1

Commentaires

Guillaume44 a dit…
C'est "l'occasion de" ;)
Gromovar a dit…
C'est exactement ça :)
Anonyme a dit…
petite erreur : il y a bien un Wilson dans le courant cyberpunk mais la machine à différences c'est de William Gibson.
Gromovar a dit…
Ma main a fourché. Merci. Je corrige.