Munir Hachemi est un auteur espagnol qui arrive aujourd'hui en France avec son roman L'arbre vient publié chez Christian Bourgois. Salto en dit qu'il « déracine les conventions littéraires ». Phrase creuse idéal-typique ou saillie drolatique. Quant à Christian Bourgois, il parle d'une littérature nécessaire. Diable ! Aussi nécessaire que respirer, manger ou boire ? Qu'en est-il réellement ? Futur indéterminé, sur un monde qui l'est tout autant. Les Mulaï sont un peuple à l'effectif faible qui vit chichement sur un monde qui n'est pas le sien. Descendants de l'expédition Futur, qui a un jour quitté la Terre pour une autre planète, leurs ancêtres y ont été oubliés avant qu'eux-mêmes ne soient redécouverts à l'occasion d'une communication radio inattendue. Sur le monde des Mulaï, on vit dans un cercle d'une centaine de kilomètres, protégé des froids polaires extérieurs par, sans doute, un système imparfait de contrôle climatique – à l...
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Commentaires
Je veux dire par-là que tu compares le roman à un bon téléfilm. C'est agréable, les téléfilms, on ne paye pas pour les voir (enfin si, la redevance ou l'abonnement au câble, mais c'est une autre histoire). Mais si tu avais loué ce film ou payé son DVD, aurais-tu été plus exigeant ?
Néanmoins je suis d'accord avec toi sur la fin un peu rapide de Warbreaker. Et je n'avais pas aimé Mistborn.
Sanderson me fait un effet très bizarre. Je me dis que je ne devrais pas aimer mais en fait j'aime bien, comme quand tu regardes une série télé pas fameuse mais qui te plait. J'avais complètement ressenti ça en lisant Elantris déjà.
Et je dois avouer qu'à ce petit jeu, je préfère un barril de Sanderson que trois barrils de R.A. Salvatore.
Je suis un peu coincé car Philippe me dit d'éviter Elantris et de lire le premier Mistborn alors que tu dis le contraire. En temps, je suis tellement frustré de la fin de Warbreaker que je ne vais pas non plus me précipiter sur un autre de ses bouquins. Mais à l'occasion, je pourrais me laisser tenter. Faute de grives...