Première sélection du GPI 2025 (avec chroniques)

  La première sélection du Grand Prix de l'Imaginaire est connue. Elle sera suivie d'une sélection finale avec moins d'ouvrages, avant que ne soient connus les lauréats dans chaque catégorie. Les Prix seront remis à la Comédie du livre à Montpellier. J'ai des favoris, bien sûr, ils se reconnaitront j'imagine. Roman francophone •    Tout est sous contrôle de Christopher Bouix (Au Diable Vauvert) •    Les Nuits sans Kim Sauvage de Sabrina Calvo (La Volte) •    Visqueuse de Morgane Caussarieu (Au Diable Vauvert) •    Un Printemps de sang de Fabien Cerutti (Mnémos) •    Une Valse pour les grotesques de Guillaume Chamanadjian (Aux forges de Vulcain) •    La Maison des veilleurs de Patrick K. Dewdney (Au Diable Vauvert) •    Obsolète de Sophie Loubière (Belfond) •    Vallée du carnage de Romain Lucazeau (Verso) •    La Sonde et la taille de Laurent Mantese (Albin Michel) •    L'Ost céleste...

Néault, sors de mon corps (1)

Néault ayant fermé récemment sa petite boutique, je vais proposer ici une brève revue de comics. N'ayant pas les compétences de Néault, je vais écrire 4 lignes par comic là où il en aurait proposé 80, prouvant ainsi que si on sait toujours ce qu'on perd, on a du mal à imaginer ce qu'on gagne avant d'y être confronté.
Spécial dédicace à Néault qui m'a remis aux comics après des années d'interruption.



Sortie en anglais de "Chew 3". Après un épisode 2 que j'avais trouvé décevant, retour au très bon avec ce troisième opus. Les enquêtes policières reviennent, l'ancien personnage disparu du 1 (le méchant ? Savoy) fait son retour, une relation improbable se développe entre deux membres du FDA. C'est de nouveau très décalé, de nouveau très caustique, les qualités du premier volume sont présentes ici. Entre super riches répugnants, théorie du complot, ex psychotiques, et famille névrotique, Tony Chu poursuit sa quête de la vérité et de la justice, y compris dans un épisode hommage à Tarentino.
Chew 3, Just desserts, Layman, Guillory



Parution en anglais du tome 7 de "The boys". Toujours excellent, violent, sexuel, dérangeant, "The boys" c'est la quintessence du talent de Garth Ennis. Présentant pour la première fois un groupe de vrais héros, innocents comme des enfants et mêlant habilement vie publique et vie privée de ses "héros", il entraine le lecteur dans une histoire complexe où trahison, déception, faux-semblants sont la règle. Le groupe des "Boys" est au bord de l'implosion. Survivra-t-il ?
The boys 7, The innocents, Ennis, Robertson

Commentaires

Pitivier a dit…
The boys, ca fait un moment que je me dit qu'il faut que je m'y mette. Garth Ennis, c'est rarement mauvais.
Gromovar a dit…
Ca vaut la peine d'y jeter plus qu'un oeil.