Lecture de Volna par Christophe Siébert

Hier, 13 septembre - veille de la première Journée Annuelle du Sport décrétée par notre commémorateur en chef afin qu'après avoir dû supporter musiciens amateurs et plateaux convenus de la télé publique une fois par an depuis des décennies nous soyons dorénavant contraints à faire de même, à une autre date, pour des sportifs amateurs vibrionnant dans des bacs à sable improvisés et des célébrités belles et bonnes défilant sur France Télévision -, hier donc, dans un tout autre registre, Marie Debilly Cerisier lisait de la poésie à la libraire L'hydre aux mille têtes. Et c'était fort. Après ce moment de poésie, c'est Christophe Siébert qui a lu de longs passages de son dernier roman, Volna . L'un comme l'autre était accompagnés par l'ambiance musicale de Mauricio Amarante qui ajoutait un contexte glaçant aux lectures. Qu'il en soit remercié ! Ci-dessous donc, deux courts moments de lecture, où l'on voit que, jusqu'à Mertvecgorod, le grand Michaël M

Ma mère, ses cuisses charnues


Le haïku est l'une des rares formes d'art qui avait échappé à la zombimania actuelle, dans laquelle je me roule tel un débauché dans la luxure. Omission réparée grace à ce petit opuscule écrit à quatre mains par deux victimes de l'épidémie. Entre pensées, taches de sang, et fragments non identifiables, un voyage au coeur même de la catastrophe, un témoignage unique et irremplaçable.
Conseillé par Robert Kirkman, scénariste de Walking Dead.
Zombie Haïku, Ryan Mecum

Commentaires

El Jc a dit…
Mariage aussi étrange que curieux que celui de nos amis à la démarche hésitante avec cet art du pays du soleil levant. Je note pour une découverte future ;o)
Gromovar a dit…
Etonnant certes. Détonnant aussi.