La Cité des marches - Robert Jackson Bennett

Bulikov, la capitale du Continent. Autrefois une ville grande et puissante, le centre du monde. Aujourd’hui une ville conquise, en partie détruite. Rome après Alaric. Kind of. Dans le monde de La Cité des marches , dernier roman traduit en français de Robert Jackson Bennett et premier volume de le trilogie des Cités divines , il y a le Continent et le reste – ce centre-périphérie théorisé au XIV siècle par le grand historien arabe Ibn Khaldoun . Et, comme dans l’analyse de ce dernier, la périphérie a fini par conquérir le centre, en l’occurrence le Continent ; rien d’étonnant, ce n’est qu’à la périphérie que résident la force et la détermination nécessaires à la guerre. Concrètement, c’est une révolte conduite avec succès il y a plusieurs décennies par le Kaj qui a abattu l’empire continental et ses dieux. La chute des uns entrainant celle de l'autre. Car tu dois le savoir, lecteur, le pouvoir sans égal du Continent était le fruit des « miracles » de ses six dieux, incarnés dans le

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J'aime vraiment bien le fantastique médiéval de Maïa Mazaurette, mais la réédition de ce roman d'anticipation sociale paru initialement en 2004 est une vraie inutilité. C'est très mal écrit, et le fond est largement grotesque. Maïa Mazaurette est en train d'acquérir une vraie notoriété et c'est la seule explication que je vois à cette réédition.
Rien ne nous survivra, Maïa Mazaurette

Commentaires

Efelle a dit…
Merci pour cet avis, là encore j'ai hésité mais préféré attendre les retours. Tu confirmes ce que j'ai lu ailleurs.
Gromovar a dit…
Oui. Bien dommage.