La Cité des Lames - Robert Jackson Bennett

Sortie du tome 2 de la trilogie des Cités de Robert Jackson Bennett. Après le très plaisant Cité des Marches , voici qu’arrive La Cité des Lames . Tu sais, lecteur, que je n’aime guère chroniquer des tomes n car la description du monde a déjà été faite par mes soins dans la chronique du premier volume. Je vais donc faire ici une sorte d’inventaire de ce qui est proche et de ce qui diffère, en pointant le fait que, de même que le  premier volume pouvait se lire seul, celui-ci le peut aussi, les événements du premier formant un background qui est correctement expliqué dans le deuxième, y compris pour d’éventuels lecteurs qui auraient commencé par celui-ci. J’espère que c’est assez clair;) Voilà, lecteur, tu sais tout, suis le guide ! La Cité des Lames se passe quelques années après les événements narrés dans son prédécesseur. Le pouvoir à Saypur a pris un virage à l'opposé de la politique colonialiste revancharde qui était la sienne depuis le Cillement qui a mis fin au Divin. Shara,

Mouais


Magie de l'Internet : je reçois il y a peu, d'un bouquiniste de Forcalquier jamais vu IRL, un livre imprimé en 1970.
Je ne vais pas me faire beaucoup d'amis mais je n'ai pas grand chose à en dire. Ce recueil de nouvelles de Ballard contient quelques nouvelles,vraiment bien écrites, obsédées par le thème, alors très à la mode, de la bombe démographique (à quelques années des travaux du Club de Rome et du rapport Meadows). Ce sont les seules intéressantes. Le reste est un assemblage de nouvelles de SF ultra-classiques (ce qui n'est pas un défaut mais pas une qualité non plus), et de cette SF caractéristique des années 60, marquée par le psychédélisme, dans laquelle des personnages évanescents contemplent l'univers et philosophent tout en effeuillant des marguerites dans des décors improbables (je ne crois pas avoir assez souvent des retours d'acide pour apprécier à sa juste valeur).
Billenium, J G Ballard

Commentaires

Laurent F a dit…
Bon, c'est pas évident de commenter un livre que je n'ai pas lu, mais je me suis lancé la semaine dernière dans Millenium people, du même auteur... En deux mots : pas terrible. Mal écrit ? Mal traduit ? Bref, quand on compte les pages qui restent à lire avec autant d'appréhension qu'une starlette compte les kilos qui lui restent à perdre, c'est pénible. D'ailleurs, j'ai déclaré forfait aux 2/3 du bouquin. Sur le fonds : les classes moyennes sont devenues la classe dangereuse, à la recherche de sens dans leur existence formatée et de sensations fortes. Voilà, vous savez l'essentiel, vous pouvez vous dispenser d'acheter le livre...
Gromovar a dit…
Le thème est devenu obsessionnel chez lui. Ça en devient très pénible.