Scénariste de comics et romancier, ce n'est apparemment pas le même set de compétences. C'est la conclusion qu'on doit tirer de la lecture de Bones of our stars, Blood of our world , le premier roman du scénariste Cullen Bunn . Là où un comic peut se permettre d'être frénétique, ici trop de personnages se succèdent trop vite dans une histoire convenue qui ne parvient même pas à être gore alors que c'est cette direction qu'elle vise. Ajoutons-y, pour faire bonne mesure, une écriture sans éclat, une enfilade de narrations à la troisième personne qui empêche tout investissement émotionnel, et l'éternelle petite ville insulaire en décrépitude dans laquelle on s'emmerde grave. Nihil novi sub sole , ça a été déjà fait, et beaucoup mieux. Passe ton chemin, lecteur !
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Commentaires
Vous savez c’est faux de dire que le taux de suicide connaît un pic pendant les fêtes, je crois même que c’est une période ou il est en baisse, par contre ce qui connaît un pic c’est la consommation de Prozac et autres anxiolytiques…
Voilà un premier commentaire, rien de très spirituel mais c’est un début.
Si vous voulez voir quelque chose de fascinant sur les repas de famille, louez Festen.
Fora !
Mes salutations les plus sincères.