Harmattan Season - Tochi Onyebuchi

Afrique, lieu indéterminé (ayant connu la colonisation française) , date indéterminée (sans doute vers le début du XXe siècle) . L'harmattan est un vent (de sable) qui souffle principalement à certaines saisons. Les saisons d'harmattan, propices aux tempêtes de sable, sont (le jour) très chaudes et sèches, provoquant troubles physiques et psychiques chez ceux qui le ressentent. Dans Harmattan Season , un personnage compare la présence française à un harmattan qui ne connaitrait pas de fin. Boubacar est un enquêteur privé. Il gagne d'habitude sa vie en retrouvant ceux qui ont disparu, par choix ou contre leur gré. Il le fait en naviguant entre les deux communautés du pays où il vit : les dugu (qui sont les autochtones) et les diéman (les blancs) . Mais depuis plusieurs mois les affaires vont mal, les dettes s'accumulent, et il est vraiment dans la dèche. Voilà qu'un soir une jeune femme visiblement blessée frappe frénétiquement à sa porte et entre dans son bureau...

Retour du front

Retour des Utopiales hier.
Excellente manifestation.
J'ai obtenu des signatures de tous ceux que je visais dans le post précédent plus Thierry Di Rollo et Richard Paul Russo. 10 dédicaces d'auteurs mondialement connus, c'est très satisfaisant.
J'ai acheté "Axis", la suite de Spin en avant-première.
J'ai acheté "La profondeur des tombes" pour tester l'écriture noirissime de Thierry Di Rollo.
J'ai acheté "10000 litres d'horreur pure" parce que c'est un hommage à la geekerie VHS des années 80 et que c'est donc de ma bande.
J'ai acheté "La nef des fous" de Richard Paul Russo parce que ce qu'il en a dit au cours d'une table ronde m'a séduit.
J'ai assisté à pléthore de tables rondes passionnantes.
J'ai pu dire à Peter F. Hamilton, R. C. Wilson et Ian MacLeod tout le bien que je pensais de leur oeuvre.
J'ai pu apprécier à quel point John Scalzi est un garçon sympathique et drôle.
J'ai testé un excellent jeu de cartes, appelé "Les faiseurs d'univers", qui doit sortir début 2008.
J'ai enfin appris trois choses capitales :
Primo : les auteurs donnent pour leurs couv' leurs meilleures photos et pas les plus récentes; ils sont moins beaux en vrai.
Secundo : 90% des auteurs portent des lunettes.
Tertio : 80% des auteurs portent la barbe.
Conclusion : je sais ce qu'il me reste à faire.

Commentaires

Anonyme a dit…
Moi, une fois, j'ai croisé Franz Olivier Giesbert dans une rue près de Montparnasse, mais ca compte pas vraiment. D'ailleurs, il ne porte pas la barbe.
Gromovar a dit…
C'est comme ça qu'on sait que FOG n'est pas un vrai auteur.
APL a dit…
barbe et lunettes, c'est aussi le signalement des géographes.
Méfiance, donc.
Gromovar a dit…
Hou là. Ca fout les boules ce géographe là.