Appleseed, le premier roman de Matt Bell, sort bientôt à L'Atalante. C'est un texte aussi superbe qu'intelligent. Tu as lu
Le ministère du futur, alors tu dois lire
Appleseed qui en est l'indispensable complément. Et sinon tu dois le lire aussi.
Je ne peux en dire plus car ma chronique sera dans le
Bifrost n° 114, et elle ne reviendra ici qu’un an après la sortie de la revue (c’est à dire, pfff…).
Je peux au moins donner le résumé de la couv’ car celui-ci est disponible
partout :
Le monde avant les sécheresses incessantes, avant les incendies sans fin, avant les nouvelles infections résistantes aux antibiotiques, avant la montée des mers acides, les tornades et les ouragans. Avant que les sols ne meurent et ne s’assèchent, avant que les masques ne soient nécessaires dans les rues des villes, avant que les extinctions massives n’entraînent l’anéantissement du monde naturel.
C’est le monde qui a été volé. Ce qui suit est l’histoire de la façon dont il a été perdu, de qui nous a coûté quoi, de ce que les coupables ont l’intention de faire avec ce qui reste.
« La raison pour laquelle vous n’avez jamais lu de livre comme Appleseed est qu’il n’y a jamais eu un livre comme Appleseed. Son postulat, son propos, sa forme, sa langue – seul Matt Bell pouvait nous offrir un tel roman. » Stephen Graham Jones
« Que vous l’abordiez comme un avertissement ou une source d’espoir, un mythe ou un plan pour l’avenir, Appleseed est tout ce que la science-fiction devrait être. » The Wall Street Journal
Voila. Rien de plus. Sinon voici ce qui m'attend :
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