The Nice House by the Sea - Tynion - Bueno - Bellaire

Sortie de The Nice House by the Sea , le premier volume du second cycle de la série Nice House . Le chef d’œuvre (encore un) de James Tynion IV assisté de Alvaro Martinez Bueno et Jordie Bellaire aux pinceaux, le tout traduit par Maxime Le Dain, se poursuit donc, comme annoncé. Cette chronique sera courte car il ne faut spoiler ni ce nouvel album ni la duologie précédente. Que puis-je dire, lecteur, sans lever le voile plus que ne le fait le site de l'éditeur ? Sache d'abord, lecteur, qu'il ne fait pas commencer ce nouveau cycle sans avoir lu le précédent. Il est clairement une suite et donc, sans avoir lu ou relu, tu ne comprendrais sûrement pas grand chose aux enjeux du récit – au mieux tu comprendrais peut-être certains points mais sans toucher du doigt les tensions internes qui existent entre les personnages impliqués. Ceci posé, sache, lecteur, que de nouveaux personnages entrent en scène, dans un nouveau lieu, une luxueuse maison « à la grecque » au bord de la mer....

Utopiales 2023 : more than ever

Les Utopiales 2023, c'est fini.

Plus de 140000 participants, plus de 100 intervenants, 120 conférences, 314 séances de dédicace, 10 expos, 85 séances de cinéma. Et les jeux. Et la plus grande librairie SF of the world.


On y a vu les amis, nombreux. Toujours pour trop peu de temps. On y a bu des coups au Bar de Mme Spock. On y a même parlé, un peu, avec les Quarante-Deux.

On y a assisté à des conférences de grande qualité (parlons Tristan Garcia ou Chen Qiufan entre autres). Et on y a croisé la flamboyance de la presse Imaginaire.

On y a vu Kim Stanley Robinson, venu présenter Le Ministère du Futur, un vrai livre d'Honnête Homme, et Nicolas Martin, et aussi Kim Stanley Robinson avec Nicolas Martin.

On y a parlé avec grand plaisir aux deux ladys sombres, Mariana Enriquez et Morgane Caussarieu.

On y a remis le trophée du PSF 2023 aux sympathiques éditeurs du Pays sans Lune.

On y a félicité Audrey Pleynet pour le Prix Utopiales que lui a valu sa novella Rossignol.

On a surtout réussi à prendre le même train que Pascal Godbillon et à pourtant arriver à l'heure à destination.

Commentaires

MiSs DeViL a dit…
Ca a l'air top, j'espère pouvoir m'y rendre un jour !