Ray Nayler in Bifrost 118 - Obstination déraisonnable

Dans le Bifrost 118 il y a les rubriques habituelles. Critiques des nouveautés, scientifiction and so on. Il y a aussi un édito d'Olivier Girard qui rend un hommage appuyé et émouvant à Yal Ayerdhal , un grand de la SF française qui nous a quitté il y a dix ans et dont je me souviens de le gentillesse et de la capacité d'attention à tous ceux qui, d'une manière ou d'une autre, appartenait à ce milieu qui était le sien et qui est le nôtre. Dans le Bifrost 118 , il y a   donc un gros dossier sur Yal Ayerdhal (qu'on appelait entre nous simplement Yal) . Un dossier sur l'homme actif et en colère qu'il était, de ses combats pour le droit des auteurs à son militantisme intelligent (il y en a) . Dans le  Bifrost 118  il y a aussi une plaisante nouvelle de Ray Nayler,  Aussi longtemps qu'il faudra . Il y raconte une apocalypse si lente, si longue, si fortement combattue par des équipes de gars qui reconstruisent (kind of) après chaque catastrophe en parlant de...

Brève : Les derniers contes de Canterbury - Jean Ray


Réédition sous une très belle couverture des "Derniers contes de Canterbury" de Jean Ray, das nune édition définitive et postfacée. Diable!
L'auteur belge y livre sa version du chef d’œuvre de Chaucer, reprenant la forme narrative des récits successifs à l'auberge et y ajoutant son humour particulier ainsi que l'intervention de conteurs issus d'époques différentes.
Attiré par la référence à Chaucer, j'ai découvert un ouvrage pour amateurs de Jean Ray. Un ami en disait : Jean Ray c’est toujours agréable mais jamais très violent. Il faut le lire au coin d’un feu de bois avec du Whisky un soir de Noël quand tout le monde est à côté en train de bouffer la dinde.

Voilà. Je me suis un peu ennuyé, sauf sur les textes médiévaux. Je ne résiste jamais ni aux marmousets ni aux fesse-mathieux.

Les derniers contes de Canterbury, Jean Ray

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