La Cité des marches - Robert Jackson Bennett

Bulikov, la capitale du Continent. Autrefois une ville grande et puissante, le centre du monde. Aujourd’hui une ville conquise, en partie détruite. Rome après Alaric. Kind of. Dans le monde de La Cité des marches , dernier roman traduit en français de Robert Jackson Bennett et premier volume de le trilogie des Cités divines , il y a le Continent et le reste – ce centre-périphérie théorisé au XIV siècle par le grand historien arabe Ibn Khaldoun . Et, comme dans l’analyse de ce dernier, la périphérie a fini par conquérir le centre, en l’occurrence le Continent ; rien d’étonnant, ce n’est qu’à la périphérie que résident la force et la détermination nécessaires à la guerre. Concrètement, c’est une révolte conduite avec succès il y a plusieurs décennies par le Kaj qui a abattu l’empire continental et ses dieux. La chute des uns entrainant celle de l'autre. Car tu dois le savoir, lecteur, le pouvoir sans égal du Continent était le fruit des « miracles » de ses six dieux, incarnés dans le

Brève : Les derniers contes de Canterbury - Jean Ray


Réédition sous une très belle couverture des "Derniers contes de Canterbury" de Jean Ray, das nune édition définitive et postfacée. Diable!
L'auteur belge y livre sa version du chef d’œuvre de Chaucer, reprenant la forme narrative des récits successifs à l'auberge et y ajoutant son humour particulier ainsi que l'intervention de conteurs issus d'époques différentes.
Attiré par la référence à Chaucer, j'ai découvert un ouvrage pour amateurs de Jean Ray. Un ami en disait : Jean Ray c’est toujours agréable mais jamais très violent. Il faut le lire au coin d’un feu de bois avec du Whisky un soir de Noël quand tout le monde est à côté en train de bouffer la dinde.

Voilà. Je me suis un peu ennuyé, sauf sur les textes médiévaux. Je ne résiste jamais ni aux marmousets ni aux fesse-mathieux.

Les derniers contes de Canterbury, Jean Ray

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