The Dagger in Vichy - Alastair Reynolds

France, non loin de Bourges, autour du ??? Autour de quel siècle au fait ? C’est une bonne question. Car si dès le début de The Dagger in Vichy nous marchons dans les traces d’une troupe de théâtre itinérante comme il y en avait tant entre Moyen-Age et Renaissance, des indices transparents nous disent vite (à nous, peuple de la SF) que l’époque n’est pas celle que nous croyions au départ. Nous comprenons vite que Maître Guillaume, le dramaturge, Maître Bernard, le soldat, et le reste de la troupe, y compris celui qui nous narre l’histoire tragique et navrante de la petite équipe, vivent en des temps qui suivent les nôtres, après maints désastres et tribulations (décidément l’un de mes mots préférés de la langue française) , alors que barbarie et sauvagerie ont repris possession du monde comme elles le firent après la chute de l’Empire romain. Caprice des temps, il y a dans la France du texte un Imperator qui siège à Avignon, comme le firent les papes en d’autres temps. Époque incerta...

Bradbury/Matheson : Conversation avec deux légendes


Dans ce petit ouvrage numérique édité par ActuSF, Matheson raconte Matheson (et au début Bradbury parle un peu aussi, mais là c'est pour Matheson que je suis venu). C'est passionnant et j'en livrerai la substantifique moelle dans le Bifrost n° 86.

Je ne peux en dire plus.

Je peux au moins donner le résumé de la couv’ car celui-ci est disponible partout :

On ne présente plus Ray Bradbury et Richard Matheson, deux légendes de la science-fiction américaine, qui nous ont quittés respectivement en 2012 et 2013. On leur doit des chefs-d'œuvre comme Fahrenheit 451, Les chroniques martiennes ou encore Je suis une légende.
Dans Bradbury/Matheson : conversation avec deux légendes, Dennis Etchison nous offre une discussion à bâtons rompus avec ces deux monstres de la littérature, livrée sans censure ni retouches. Ray Bradbury s'y confie pour la première fois librement sur son expérience avec Hollywood et son amour de l'écriture, tandis que Richard Matheson nous offre une rétrospective personnelle et définitive sur sa fructueuse carrière.

Voila. Rien de plus. Sinon voici ce qui m'attend :

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