Mon cœur est une tronçonneuse - Stephen Graham Jones

Jade Daniels est en dernière année de lycée dans la petite ville de Proofrock, Idaho. Demi-indienne par son père (tendance Blackfeet) , mal dans sa peau, JD, qui vit avec ce paternel indien alcoolo qu’elle déteste, est une espèce de punkette locale que tout le monde connaît, et pas en bien. Seul plaisir d’une vie très solitaire, JD adore les films de slashers , qu’elle regarde passionnément et dont elle a une connaissance encyclopédique. Et voilà qu’elle pense repérer des signes identifiant les débuts d’activité d’un de ces tueurs solitaires dans sa ville même. Entre cinéma et réalité, JD va tenter de négocier au mieux cette menace existentielle. Mon cœur est une tronçonneuse est un roman de Stephen Graham Jones. C’est un hommage à un genre cinématographique qu’il adore et auquel il a déjà donné un excellent roman : Un bon indien est un indien mort . Qu’en est-il ici ? Cette chronique de Mon cœur est une tronçonneuse est garantie sans spoiler ni sur le qui, ni sur le pourquoi, ni sur

Bradbury/Matheson : Conversation avec deux légendes


Dans ce petit ouvrage numérique édité par ActuSF, Matheson raconte Matheson (et au début Bradbury parle un peu aussi, mais là c'est pour Matheson que je suis venu). C'est passionnant et j'en livrerai la substantifique moelle dans le Bifrost n° 86.

Je ne peux en dire plus.

Je peux au moins donner le résumé de la couv’ car celui-ci est disponible partout :

On ne présente plus Ray Bradbury et Richard Matheson, deux légendes de la science-fiction américaine, qui nous ont quittés respectivement en 2012 et 2013. On leur doit des chefs-d'œuvre comme Fahrenheit 451, Les chroniques martiennes ou encore Je suis une légende.
Dans Bradbury/Matheson : conversation avec deux légendes, Dennis Etchison nous offre une discussion à bâtons rompus avec ces deux monstres de la littérature, livrée sans censure ni retouches. Ray Bradbury s'y confie pour la première fois librement sur son expérience avec Hollywood et son amour de l'écriture, tandis que Richard Matheson nous offre une rétrospective personnelle et définitive sur sa fructueuse carrière.

Voila. Rien de plus. Sinon voici ce qui m'attend :

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