Mariana Enriquez - Un lieu ensoleillé pour personnes sombres

Des voix magnétiques, pour la plupart féminines, nous racontent le mal qui rôde partout et les monstres qui surgissent au beau milieu de l’ordinaire. L’une semble tant bien que mal tenir à distance les esprits errant dans son quartier bordé de bidonvilles. L’autre voit son visage s’effacer inexorablement, comme celui de sa mère avant elle. Certaines, qu’on a assassinées, reviennent hanter les lieux et les personnes qui les ont torturées. D’autres, maudites, se métamorphosent en oiseaux. Les légendes urbaines côtoient le folklore local et la superstition dans ces douze nouvelles bouleversantes et brillamment composées, qui, de cauchemars en apparitions, nous surprennent par leur lyrisme nostalgique et leur beauté noire, selon un art savant qui permet à Mariana Enriquez de porter, une fois de plus, l’horreur aux plus hauts niveaux littéraires. Un lieu ensoleillé pour personnes sombres , le dernier recueil de nouvelles de Mariana Enriquez, sort en VF aux Editions du Sous-Sol dans une trad...

Les Misérables : une bonne surprise (chronique sponsorisée par Kleenex)


Ce qu’en dit l’éditeur :
L'action se déroule en France au cours du premier tiers du XIXe siècle, entre la bataille de Waterloo (1815) et les émeutes de juin 1832. On y suit, sur cinq tomes, la vie de Jean Valjean, de sa sortie du bagne jusqu'à sa mort. Autour de lui gravitent les personnages, dont certains vont donner leur nom aux différents tomes du roman, témoins de la misère de ce siècle, misérables eux-mêmes ou proches de la misère : Fantine, Cosette, Marius, mais aussi les Thénardier (dont Éponine, Azelma et Gavroche) ainsi que le représentant de la loi, Javert.

Ce que j’en pense moi :
D’abord, une mise au point. Quand Jules Rouff Editions a proposé de recevoir « Les Misérables » à domicile, au début j’ai hésité. Les Misérables, ça donne guère envie, des embêtements, on en a déjà assez dans la vie, non ? Et puis Hugo, ça me rappele Ugo, le chien des voisins, qui passe sont temps à me casser les oreilles.
Mais vous me connaissez, je suis pas peureux. Une Bud, un rat sur les genoux, les copains sur Twitter, et rien ne me fait peur.
Alors, vous pensez bien que j’ai sauter sur l’occasion. Je suis français, alors le misérabilisme social c’est ma passion. Surtout que j’avais bien aimé les Miséroïdes, la version du livre qu’avaient réalisé les Inconnus. Bon, oui, c’est un sacré pavé, mais la couverture est super jolie. Déjà, le style noir et blanc montre bien que c’est ancien et puis, cette petite Cosette qui porte un seau plus gros qu’elle, ça montre bien que les temps ne change pas (indice : penser aux cartables des boud’choux) - contrairement à ce que croyait Bob Dylan.

Bon alors, honnêtement, il faut supporter les Thénardier. Moi, j’en aurai bien pris un pour tapé sur l’autre. Et Javert le policier !!! Alors lui !!! Tête dure !!! Il veut jamais croire que Jean Valjean est devenu quelqu’un de bien (et encore, on est mal parce qu’on a volé un pain c’est ça ???). Pourtant, il aide bien Fantine, alors... Mais je crois que c’est pour bien montré que la justice est aveugle et qu’il vaut mieux être humain. Je crois. Faudra que je le relise un jour pour être sûr.

Bon, ya aussi de l’action, pour les amateurs. Prise d’otage, police, toussa. Si on avait peur de s’nneueyr, plus d’inquiétude. Faut juste tenir jusqu’au moment où ça arrive (tome 3 quand même !!!), il était pas obligé de nous faire attendre autant le petit père Hugo.
En tout cas il décrit très bien le Moyen-Age, on s’y croirait.

Et puis je sais pas vous, mais moi, quand je vois tout ce qui arrive à cette pauvre petite Cosette, je suis bien content de voir que tout finit par s’arranger et même mieux ‘wink wink’. Bon, je vous dit pas, je vais pas faire le spoiler de série ‘grrrr’, mais je peux vous dire que ça va bien tourné pour Cosette, et honnêtement, il était temps.

Bon, même si l’histoire est un peu vieille et qu’ils sont pas très modernes tous ces gens, c’est quand même pas ennuyant. C’est de l’aventure, beaucoup d’émotion, et on apprend plein de choses aussi sur les temps anciens qui n’étaient pas si facile qu’on croit.

Donc merci beaucoup à Jules Rouff et à ses associés qui m’ont permi de lire un bon livre, bon inquiétant au début à cause du titre et du noir et blanc, mais finalement pas mal du tout et très instructif.

Mon avis :  GOLDEN STAR

Commentaires

Xapur a dit…
Ouai, ssa a l'air tro bi1, mai les livre c tro dur a lire, y a pas assé d'imaje !
Maëlig a dit…
Petit parfum de http://bolossdesbelleslettres.tumblr.com/post/51792660362/les-miserables-victor-hugo
Gromovar a dit…
A lire aussi en effet, pour avoir une vision plus complète ;)
Lhisbei a dit…
Pourquoi Kleenex et pas Lotus hein ? Lotus est plus diversifié et a l'avantage de proposer sur certains produits du x6, x12 ou x24. Kleenex est trop spécialisé
:p
Gromovar a dit…
Merci pour toutes ces précisions dont je ne manquerai pas de faire bon usage à l'avenir.
Bat Zena a dit…
Je te conseille vivement Notre-Dame de Paris alors ;) mon livre préféré de tous les temps et ô combien plus émouvant encore que les Misérables (oui, oui).

Ce Hugo était un génie et malheureusement ses textes sont toujours un peu trop d'actualité, car on n'évolue jamais !
Gromovar a dit…
Je n'y manquerai pas.
Lorhkan a dit…
Du grand art, bravo ! :D
Baroona a dit…
lol gé rin conpri mai c tro coule, t le mailleur et tu mfé rir, continu !!!!! lol
Tigger Lilly a dit…
Quatre-vingt-treize se laisse lire aussi ^^
Gromovar a dit…
C'est un truc qui se passe dans le 9-3 ?