Mon cœur est une tronçonneuse - Stephen Graham Jones

Jade Daniels est en dernière année de lycée dans la petite ville de Proofrock, Idaho. Demi-indienne par son père (tendance Blackfeet) , mal dans sa peau, JD, qui vit avec ce paternel indien alcoolo qu’elle déteste, est une espèce de punkette locale que tout le monde connaît, et pas en bien. Seul plaisir d’une vie très solitaire, JD adore les films de slashers , qu’elle regarde passionnément et dont elle a une connaissance encyclopédique. Et voilà qu’elle pense repérer des signes identifiant les débuts d’activité d’un de ces tueurs solitaires dans sa ville même. Entre cinéma et réalité, JD va tenter de négocier au mieux cette menace existentielle. Mon cœur est une tronçonneuse est un roman de Stephen Graham Jones. C’est un hommage à un genre cinématographique qu’il adore et auquel il a déjà donné un excellent roman : Un bon indien est un indien mort . Qu’en est-il ici ? Cette chronique de Mon cœur est une tronçonneuse est garantie sans spoiler ni sur le qui, ni sur le pourquoi, ni sur

Les racines du mal - Ian Tregillis


"Les racines du mal", du pote à GRRM Ian Tregillis, est le premier tome d'une trilogie d'histoire parallèle secrète plus ou moins uchronique, avec WWII, nazis, super-héros et sorciers. My, my, my..., Ouille, ouille, ouille.

Je ne peux en dire plus car ma chronique sera dans le Bifrost n° 76, et elle ne reviendra ici qu’un an après la sortie de la revue (c’est à dire, pfff…).

Je peux au moins donner le résumé de la couv’ car celui-ci est disponible partout :

Nous sommes en 1939. La guerre bascule après la découverte par un espion britannique de documents confidentiels traitant d’un programme nazi ultra secret sur la création de surhommes aux pouvoirs dévastateurs. Certains peuvent traverser les surfaces solides, d’autres créer des jets de flammes ou encore voir l’avenir. Pour lutter à armes égales, les Anglais font appel à des forces interdites et les derniers sorciers du royaume passent un pacte avec des puissances antédiluviennes, les Eidolons. Toutefois, la sorcellerie a un prix, et les sacrifices consentis pour vaincre l’ennemi se révélent bien plus terribles que la défaite. Comment faire pour reprendre le contrôle de cette guerre qui pourrait être la dernière que le monde connaisse ?
Dans ce trépidant récit uchronique, Ian Tregillis décrit une Seconde Guerre mondiale dont les protagonistes sont dépassés par les enjeux, et dont aucun ne sortira indemne.

Voila. Rien de plus. Sinon voici ce qui m'attend :



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