Lovecraft et Sonia Greene - Horreur à Martin's Beach

Tu le sais ou pas, lecteur, mais Lovecraft, le reclus de Providence, fut marié et vécut un peu moins de deux ans avec Sonia Greene , écrivaine, éditrice, modiste et femme indépendante (ce qui à l'époque n'était pas la norme) . En 1922, Greene écrivit une nouvelle d'horreur que Lovecraft révisa pour publication dans Weird Tales en novembre 1923  (comme il le fit pour tant d'autres would-be auteurs) . Ce texte s'intitulait The Invisible Monster . A l'occasion de l'actuelle campagne de traduction de la correspondance entre RE Howard et Lovecraft, David Camus et Mnémos offrent en téléchargement une VF inédite de cette même nouvelle, titrée Horreur à Martin's Beach . On y retrouve en très peu de pages le sens de la description et le sentiment d'effroi cosmique qui caractérisent les oeuvres d'HPL, que ceux-ci aient été ici des ajouts de Lovecraft ou au contraire ce qui l'attira dans le texte de celle qu'il allait épouser. Surtout, confronté à ...

Les racines du mal - Ian Tregillis


"Les racines du mal", du pote à GRRM Ian Tregillis, est le premier tome d'une trilogie d'histoire parallèle secrète plus ou moins uchronique, avec WWII, nazis, super-héros et sorciers. My, my, my..., Ouille, ouille, ouille.

Je ne peux en dire plus car ma chronique sera dans le Bifrost n° 76, et elle ne reviendra ici qu’un an après la sortie de la revue (c’est à dire, pfff…).

Je peux au moins donner le résumé de la couv’ car celui-ci est disponible partout :

Nous sommes en 1939. La guerre bascule après la découverte par un espion britannique de documents confidentiels traitant d’un programme nazi ultra secret sur la création de surhommes aux pouvoirs dévastateurs. Certains peuvent traverser les surfaces solides, d’autres créer des jets de flammes ou encore voir l’avenir. Pour lutter à armes égales, les Anglais font appel à des forces interdites et les derniers sorciers du royaume passent un pacte avec des puissances antédiluviennes, les Eidolons. Toutefois, la sorcellerie a un prix, et les sacrifices consentis pour vaincre l’ennemi se révélent bien plus terribles que la défaite. Comment faire pour reprendre le contrôle de cette guerre qui pourrait être la dernière que le monde connaisse ?
Dans ce trépidant récit uchronique, Ian Tregillis décrit une Seconde Guerre mondiale dont les protagonistes sont dépassés par les enjeux, et dont aucun ne sortira indemne.

Voila. Rien de plus. Sinon voici ce qui m'attend :



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