Dislocation Space - Garth Nix

Quelques lignes pour dire le meilleur de Dislocation Space , une nouvelle de Garth Nix – encore  – lisible gratuitement sur le site Reactor . La Capitaine Aleksandra Vasilyevna Levchenko est une héroïne de guerre. Elle a servi comme sniper – la meilleure – à Stalingrad, Kursk et Berlin. Elle a aussi accompli de basses œuvres pour le grand démocrate progressiste Staline avant que celui-ci ne l'expédie au goulag sous un prétexte quelconque – mais en avait-il besoin ? Et voilà qu'après quatre ans d'enfer, un officier du MGB accompagné d'un scientifique civil vient chercher Aleksandra au fin fond de la Kolyma pour lui proposer une mission que, bien sûr, elle ferait mieux d'accepter. La sniper surdouée, capable de s'infiltrer partout grâce à ses dons exceptionnels de contorsionniste, va reprendre du service, plus à l'Ouest mais toujours dans la toundra, non loin de la Toungouska. Il s'agira pour elle, après un entrainement express, de s'infiltrer dans u...

La peau froide, Albert Sanchez Pinol



"La peau froide", fantastique glacial dans l'Atlantique Sud, c'est 66% de très bon mélangé à 33% de pas bon. J'ai vraiment aimé le début avant de ne vraiment pas aimer la fin. Not my cup of tea.

Je ne peux en dire plus car ma chronique sera dans le Bifrost n° 73, et elle ne reviendra ici qu’un an après la sortie de la revue (c’est à dire, pfff…).

Je peux au moins donner le résumé de la couv’ car celui-ci est disponible partout :

Sur un îlot perdu de l'Atlantique sud, deux hommes barricadés dans un phare repoussent les assauts de créatures à la peau froide. Ils sont frères par la seule force de la mitraille, tant l'extravagante culture humaniste de l'un le dispute au pragmatisme obtus de l'autre. Mais une sirène aux yeux d'opale ébranle leur solidarité belliqueuse.
Comme les grands romanciers du XIXe siècle dont il est nourri, l'auteur de La Peau froide mêle aventure, suspense et fantastique pour éclairer les contradictions humaines. Opposant civilisation et barbarie, raison et passion, lumière et obscurité, ce roman rappelle que, depuis la nuit des temps, c'est la peur de l'autre - plutôt que l'autre lui-même - qui constitue la plus dangereuse des menaces, le plus monstrueux des ennemis.

Voila. Rien de plus. Sinon voici ce qui m'attend :


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