When We Were Real - Daryl Gregory

Ici et maintenant. Quoique... Bienvenue à bord du bus de Canterbury Trail Tours. Il va vous emmener d'une côte à l'autre à la rencontre des Impossibles d’Amérique du Nord, les sept « merveilles » physiquement impossibles et pourtant absolument présentes apparues il y a sept ans en même temps que la révélation qui a bouleversé l’humanité : Vous vivez dans une simulation. Ni plus ni moins. Aucun détail ni explication. Juste deux preuves : un rappel visuel hebdomadaire pour chaque personne vivant sur Terre, et des artefacts surgis du néant et défiant aux yeux de tous les lois de la physique, les Impossibles. Dans le bus se trouvent 19 personnes : la conductrice et la guide, bien sûr, et les 17 touristes qui ont payé pour visiter des attractions dont l'attrait s'est effiloché au cours du temps. Car, en effet, passé le choc initial, passé les divorces, les meurtres, les suicides, les émeutes, les coups d'état, les dérives autoritaires, les catatonies et les bouffées déli...

La peau froide, Albert Sanchez Pinol



"La peau froide", fantastique glacial dans l'Atlantique Sud, c'est 66% de très bon mélangé à 33% de pas bon. J'ai vraiment aimé le début avant de ne vraiment pas aimer la fin. Not my cup of tea.

Je ne peux en dire plus car ma chronique sera dans le Bifrost n° 73, et elle ne reviendra ici qu’un an après la sortie de la revue (c’est à dire, pfff…).

Je peux au moins donner le résumé de la couv’ car celui-ci est disponible partout :

Sur un îlot perdu de l'Atlantique sud, deux hommes barricadés dans un phare repoussent les assauts de créatures à la peau froide. Ils sont frères par la seule force de la mitraille, tant l'extravagante culture humaniste de l'un le dispute au pragmatisme obtus de l'autre. Mais une sirène aux yeux d'opale ébranle leur solidarité belliqueuse.
Comme les grands romanciers du XIXe siècle dont il est nourri, l'auteur de La Peau froide mêle aventure, suspense et fantastique pour éclairer les contradictions humaines. Opposant civilisation et barbarie, raison et passion, lumière et obscurité, ce roman rappelle que, depuis la nuit des temps, c'est la peur de l'autre - plutôt que l'autre lui-même - qui constitue la plus dangereuse des menaces, le plus monstrueux des ennemis.

Voila. Rien de plus. Sinon voici ce qui m'attend :


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