Cullen Bunn - Bones of our stars, Blood of our world

Scénariste de comics et romancier, ce n'est apparemment pas le même set de compétences. C'est la conclusion qu'on doit tirer de la lecture de Bones of our stars, Blood of our world , le premier roman du scénariste Cullen Bunn . Là où un comic peut se permettre d'être frénétique, ici trop de personnages se succèdent trop vite dans une histoire convenue qui ne parvient même pas à être gore alors que c'est cette direction qu'elle vise. Ajoutons-y, pour faire bonne mesure, une écriture sans éclat, une enfilade de narrations à la troisième personne qui empêche tout investissement émotionnel, et l'éternelle petite ville insulaire en décrépitude dans laquelle on s'emmerde grave. Nihil novi sub sole , ça a été déjà fait, et beaucoup mieux. Passe ton chemin, lecteur !

J'en reviens pas d'être aussi con

Voici plusieurs semaines que je me demande comment habiller le post n° 666. Et que j'échafaude les projets les plus croquignolets.

Et je m'aperçois aujourd'hui que le 667 est passé. AAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHH !!!!!!

Mais :

"To mourn a mischief that is past and gone is the next way to draw new mischief on" W. Shakespeare

"Worse things happen at sea" The Toydolls

Alors, fêtons ce post 668 (le 666 étant celui sur Matricia l'erreur est à moitié pardonnée) avec la chanson appropriée d'un groupe que j'ai entendu pour la première fois au walkman en salle de cinéma pendant les films incompréhensibles de l'assistant d'allemand.


Commentaires

Unknown a dit…
Bien rattrapé !
Efelle a dit…
T'es un vrai rebelle !
Gromovar a dit…
En même temps, je suis nul en allemand. Tout se paye un jour ;-)
Lhisbei a dit…
tu peux aussi te rattraper au 999eme post ^^
Gromovar a dit…
Excellente idée. Merci. Faut juste que je n'y repense pas seulement quand j'en serai au 1001.