Mon cœur est une tronçonneuse - Stephen Graham Jones

Jade Daniels est en dernière année de lycée dans la petite ville de Proofrock, Idaho. Demi-indienne par son père (tendance Blackfeet) , mal dans sa peau, JD, qui vit avec ce paternel indien alcoolo qu’elle déteste, est une espèce de punkette locale que tout le monde connaît, et pas en bien. Seul plaisir d’une vie très solitaire, JD adore les films de slashers , qu’elle regarde passionnément et dont elle a une connaissance encyclopédique. Et voilà qu’elle pense repérer des signes identifiant les débuts d’activité d’un de ces tueurs solitaires dans sa ville même. Entre cinéma et réalité, JD va tenter de négocier au mieux cette menace existentielle. Mon cœur est une tronçonneuse est un roman de Stephen Graham Jones. C’est un hommage à un genre cinématographique qu’il adore et auquel il a déjà donné un excellent roman : Un bon indien est un indien mort . Qu’en est-il ici ? Cette chronique de Mon cœur est une tronçonneuse est garantie sans spoiler ni sur le qui, ni sur le pourquoi, ni sur

Vous pourrez dire, j'y étais


Eric Nieudan écrit des premiers romans depuis aussi longtemps que je l'ai découvert sur le Net ;-)
Il vient de se lancer un défi original : écrire un roman pulp en un mois sous forme de feuilleton, comme Eugène Sue par exemple. Je vous encourage vivement à profiter de ce happening et à venir lire Gaia, planète du prince perdu.

Son beau site est là : Quenouille.com

Je reproduis son post original ci-dessous :

A l’occasion de NaNoWriMo, j’ai décidé de tenter un pari quelque peu inconscient.
Mesdames et messieurs, sous vos yeux ébahis, je vais… écrire un roman. En un mois. Comme la centaine de milliers d’autre participants au défi. Jusqu’ici, je vois bien que vous n’êtes pas hyper impressionnés. Mais ce n’est pas tout : le roman sera publié ici-même, en quatre parties, chaque dimanche du mois. L’ensemble fera entre 20 et 25 chapitres, soit un petit livre de 300,000 signes ou 50,000 mots. Bonus non négligeable : le Grümph a fort gentiment accepté de produire une couverture pour chacun des épisodes.
Gaia, planète du prince perdu, sera bourré d’action, pas forcément très porté sur la réflexion métaphysique, mais fun à lire. Et aussi à écrire, espérons-le. Comme d’habitude, je posterai pendant la semaine mes impressions sur cette expérience feuilletonesque. Alors à lundi !

Commentaires

Anudar a dit…
J'ai peut-être pas bien cherché... Mais je n'ai pas vu où se trouve le lien ?

C'est le genre de truc que j'ai envie de suivre, en effet :P ...
Gromovar a dit…
Désolé. Ma faute.

Le site est là : http://www.nieudan.com/quenouille/ (je vais éditer mon post).
Et je suppose qu'il publiera chaque lundi directement dessus.
Anudar a dit…
Pour une fois que je cherche bien, alors :P ... J'ai un problème pour trouver les choses, moi.
Je vais y faire un tour pas plus tard que maintenant, du coup :) !
Cédric Ferrand a dit…
Un roman en un mois... Ça, c'est une idée lancée par un célibataire qui ni emploi de bureau ni obligations sociales.

Je souhaite bien du courage à Éric, ceci dit.

Je suis jaloux de ne pas avoir son temps de clavier disponible.
Munin a dit…
Tu es mauvaise langue, Cédric, Eric a aussi des contraintes familiales. Mais en bonne adepte du getting things done et des techniques modernes de productivité personnelle, il sait éviter la procrastination :-)
Eric Nieudan a dit…
Rhoo la mauvaise langue, Cédric! =) Heureusement que ton corbinôme est là pour rétablir la vérité. Mais tu as raison, je n'ai pas de travail alimentaire - du coup je vais pouvoir consacrer une partie non négligeable de mes heures d'écriture à ce roman. Ce qui m'empêche pas d'avoir d'autres deadlines, remarque bien.
Cédric Ferrand a dit…
Heu, je parlais du créateur du challenge, pas d'Éric. Je sais que je suis sensé détester Éric depuis qu'il m'a devancé d'un cheveu à l'élection d'homme le plus beau du monde du JdR français, mais je ne suis pas du genre à le fesser publiquement, sur le blog d'une tiers personne qui plus est.

Et puis, si Éric à le temps de venir commenter les billets qui parlent de lui, c'est qu'il n'applique pas correctement le getting things done.
Munin a dit…
Ou qu'il l'a mis au service de ses objectifs de marketing personnel, puisqu'il faut se concevoir comme une marque. Organisé comme il l'est, Eric a sûrement une catégorie "personal brand management" ou "community management" dans son gestionnaire de tâches. ;)