Daredevil Redemption - Hine - Gaydos

Redemption, Alabama. Un enfant du coin est retrouvé tué et mutilé. Après une enquête expéditive le shérif et ses hommes mettent la main sur trois suspects qui font des coupables idéals. Deux garçons et une fille du coin, se disant satanistes tous les trois. Dans le contexte explosif de la mort d’un enfant dans une petite communauté l’affaire est pliée, c’est la chaise électrique qui attend les trois jeunes en dépit de leurs protestations d’innocence. Cette affaire désespérée, pourtant, c’est le brillant Matt Murdoch, plus connu sous le nom de Daredevil, qui la prend en charge en défense de l’accusé principal, sur l’insistance d’une mère sure de l’innocence de son fils. En terrain hostile, l’avocat new-yorkais mettra toute son énergie à disculper son client et à découvrir le vrai coupable. Car, dans une ville où le fanatisme religieux règne et où de sombres secrets obscurcissent la vue, seul l'aveugle qu'il est peut espérer y voir clair. Daredevil Redemption est un one-shot réé

Control


Juste deux mots.
Je sors de "Control" et j'en sors abasourdi. Pour tout fan de Joy Division (et j'en suis un grand) ce film est un pélerinage. Mais il est visible avec profit par tout un chacun. Esthétique et glacé il conte la légende noire de Ian Curtis, le chanteur mythique du groupe qui a fondé la cold wave. Poète noir, épileptique, déchiré entre amour et loyauté, il mourra à 23 ans. Evidemment pas de mort naturelle.
Ce film est un gros coup de poing dans la gueule. Fait assez rare, toute la salle a attendu la fin du générique pour se lever et partir. Le retour au réel n'est que progressif.
Allez le voir! Ne le voyez pas en vidéo !
Control, Anton Corbijn

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