Cullen Bunn - Bones of our stars, Blood of our world

Scénariste de comics et romancier, ce n'est apparemment pas le même set de compétences. C'est la conclusion qu'on doit tirer de la lecture de Bones of our stars, Blood of our world , le premier roman du scénariste Cullen Bunn . Là où un comic peut se permettre d'être frénétique, ici trop de personnages se succèdent trop vite dans une histoire convenue qui ne parvient même pas à être gore alors que c'est cette direction qu'elle vise. Ajoutons-y, pour faire bonne mesure, une écriture sans éclat, une enfilade de narrations à la troisième personne qui empêche tout investissement émotionnel, et l'éternelle petite ville insulaire en décrépitude dans laquelle on s'emmerde grave. Nihil novi sub sole , ça a été déjà fait, et beaucoup mieux. Passe ton chemin, lecteur !

Rentrée

Je découvre mes nouveaux élèves (ils ont tous l'air gentils, la première semaine). Plus de boulot, moins de temps libre. Je vais moins lire, mais je réduirai le moins possible.
Je travaille le samedi matin et ça c'est vraiment chiatique. Merci au concepteur de mon emploi du temps.

Commentaires

Anonyme a dit…
Jusqu'à y'a pas longtemps, je ne travaillais pas le lundi, ni le vendredi, encore moins le samedi, et pas encore le dimanche. Pas mal pour un débutant. Mais visiblement, il y a du changement dans l'air. That's the way it is.
Gromovar a dit…
Je rêve d'un moment où je ne travaillerai ni le lundi, ni le mardi, ni le mercredi, ni le jeudi, ni le vendredi, ni le samedi, ni le dimanche. Travailler moins sans gagner moins, voila un slogan qui a de la gueule.
Anonyme a dit…
Gromovar for president!